La meilleure de l'information du Togo et d'Afrique

Le FRSEOA une vitrine de bonne opportunité

Le forum sur la RSE a pris fin le 07 décembre avec beaucoup de panels qui ont regroupé d’éminents acteurs autour des thèmes riches qui ont permis aux participants non seulement de connaitre les droits de l’homme mais aussi les conditions de travail, la santé des employés, pour attirer des talents et améliorer sa productivité.

Sur le thème créer des bonnes conditions de travail pour attirer des talents et améliorer sa productivité. Un thématique qui a permis aux participants d’être éclairé sur lien entre création de bonnes conditions de travail, l’attrait des talents  et l’amélioration de la productivité de l’entreprise, de lutter pour l’amélioration des conditions de travail au centre des organisations représentatives des travailleur. Monsieur Amidou Lida, juriste, inspecteur du travail, directeur a la générale du travail, dans sa présentation, est revenu sur les actions de l’Organisation Internationale du Travail (OIT). Pour lui le travail décent est tout travail réalisé dans des conditions de sécurité, de liberté, d’égalité et  de dignité, résume les aspirations des êtres humains au travail et constitue un facteur clé du bien-être économique et social.

« Le travail décent repose sur quatre piliers : la sécurité de l’emploi, la liberté, l’égalité au travail et le respect de la dignité du travail » a relevé Amidou Lida, juriste, inspecteur du travail, directeur a la générale du travail

Le panéliste a montré que tout travail, doit être sécurisé et pour que la sécurité de l’emploi soit de mise, il faut des mesures en faveur de la lutte contre la précarisation de l’emploi, mettre un accent sur la protection de l’intégrité physique et moral des travailleurs et assurer la protection sociale des travailleurs sans oublié la liberté au travail. Dans ce cas, le panéliste s’est appuyé sur la convention n°87 sur la liberté syndicale et la protection du droit syndical et la convention n°98 sur le droit d’organisation et de négociation collective et la promotion du dialogue social au sein de l’entreprise.

Pour monsieur Bernard Anoumo Bododjin de nouvelles alternatives pour le développement durable en Afrique, les activités des entreprises sur leur responsabilités est fauché. Il a dans sa présentation évoqué le cas des déchets toxiques de la côte d’Ivoire où les victimes jusqu’au aujourd’hui portent les séquelles, le cas des Zones franches ou les employés ignorent leur droit, leur devoir et sont exposés aux suprématies de leur employeur.

En effet malgré que des textes existent et protègent les employés ces textes ne sont pas à la connaissance des employés dans le souci de ces entreprises que leur employés demanderaient ou revendiqueraient leur droit. Les entreprises ne font rien pour que le droit des employés soit respecter ou appliquer. Des conditions qui ne permettent pas de protéger les employés  et de respecter leur droit.

Pour Bododjin, ces conditions pénibles auxquelles sont confrontés les employés ne leur permettent pas de jouir des fruits de son travail, de son labeur et de cela il ne vit pas de son travail, pour lui, il devient malheureux et perd sa dignité.

Tout ceci expose l’employé à une santé fragile, et madame Inès Attiba-Dohou, propose pour sa part des démarches qui doivent prendre en compte l’ensemble des composantes du travail dont l’organisation, environnement de travail, produits, matériel utilisé, équipements et lieux  de travail qui sont nécessaire pour garantir une bonne sécurité à l’employés. La santé des employés doit intéresser les employeurs et  permettre d’assurer la sécurité du travailleur,  l’employé travail mais il est malheureux, aigris et ne jouit pas des fruits de son travail. Pour cela le chef d’entreprise doit être le moteur de la démarche et s’impliqué pour mobiliser les salariés et lui permettre d’avoir des temps et des moyens de préventions. Aussi s’inscrire dans une logique d’amélioration continue avec une actualisation des actions correctives. Les actions de préventions doivent prendre en compte trois leviers d’actions comme organisationnel, technique et humain. Elle mise sa présentation sur les actions de préventions, donc qui pour elle va permettre de réduire la survenue du risque  avant de proposer des actions de protection qui permettra de réduire la gravité du risque. Ainsi pour être complète, la démarche de prévention doit inclure des analyses sur le terrain afin pour elle, d’apprécier les situations dangereuses avec les contraintes de l’environnement de travail.

Les panélistes ont porté leurs  regards sur l’autonomisation économique de la femme, en passant par l’importance démographique des femmes les pays membres de l’OIF. Ce qui a permis l’intégration de l’emploi des femmes dans les stratégies et politiques de développement. L’accès des femmes à l’emploi a favorisé l’autonomisation économique des femmes d’où l’égalité femmes- hommes. On note que cette situation a poussé les Etats et les gouvernements à agir et faire l’emploi des femmes une nécessité absolus en adoptant des stratégies qui favorisent l’égalité femmes et hommes.

Aujourd’hui grâce à ces stratégies mis en œuvre,  52% de femmes se sont  développé à travers des activités agricoles, du commerce et de transformation agroalimentaire ou artisanal ; 60% des femmes se sont développés grâce aux activités halieutiques, de la pèche et le commerce des produits frais transformation et de conservation.

commentaires
Loading...