Accueil Blog Page 781

Le découpage de l’année scolaire connu

0

Le Professeur TCHAKPELE  Paalamwè Komi, Ministre des  Enseignements Primaire, Secondaire et de la Formation Professionnelle  a donné ce  mercredi des éclaircissements sur le calendrier scolaire en cours.

Selon le dit calendrier les cours s’achèveront le 5 juillet 2019. Les épreuves du Bac (I et II) et du BEPC auront lieu à partir du 20 mai pour s’étaler jusqu’en juin.

Les congés de Noël sont prévus du 21 décembre au 6 janvier et celles de Pâques du 22 mars au 2 avril.

La rentrée académique 2018-2019 aura belle et bien  lieu le 16 septembre.

Depuis la signature d’un accord global entre les syndicats d’enseignants et le gouvernement, aucune grève n’est venue perturber les cours comme cela avait été le cas l’année dernière.

L’avenir de l’agriculture Togolaise se dessine

0

Un forum est ouvert à partir de ce jeudi et vendredi  à Lomé consacré au développement des zones de transformation agro industrielle.  Une initiative du Centre autonome d’étude et de renforcement des capacités pour le développent du Togo (CADERDT).

Cette  rencontre a obtenue le soutien de l’Etat et la Banque africaine de développement (BAD).

Les échanges portent sur la contribution du secteur privé national et international à l’implantation d’entreprises de transformation agricole.

Les pouvoirs publics ont bien compris que l’avenir de l’agriculture togolaise repose sur de la valeur ajoutée.

Les centres agro-industriels une fois créer à travers le pays seront une source de prospérité pour le monde rural et un moyen de créer de l’emploi pour les jeunes.

Le ministère de l’Agriculture ne peut supporter à lui seul les milliards d’investissements nécessaires à ces pôles de transformation. Le recours aux partenariats public-privé (PPP) semble être la solution la plus viable.

« L’ambition est de faire du Togo une économie compétitive structurellement transformée à caractère compétitif et résilien,t fondé sur des qualités sociales économiques » a indiqué Odilia Gnassingbé, directrice exécutif du CADERDT.

source: Republicoftogo

CAN 2019 : Eto’o invite les stars du showbiz et ceux de football à un match de gala

0

Samuel Eto’o a promis d’organiser un match de gala à cinq jours de la CAN de football qui se jouera du 15 juin au 13 juillet au Cameroun. Parmi les invités : Lionel Messi et Ronaldo de Assis Moreira dit Ronaldinho.

La 32è édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football se jouera du 15 juin au 13 juillet prochains au Cameroun. Un pays aux légendes footballistiques inestimables. Parmi elles, Samuel Eto’o.

Lui qui écrivit de 2004 à 2009, la plus belle page de son histoire footballistique dans le FC Barcelone. Une histoire qui se fit avec la complicité du Brésilien Ronaldo de Assis Moreira dit Ronaldinho. Laquelle histoire poursuit aujourd’hui son cours avec Lionel Andrés Messi Cuccitini.

Samuel Eto’o a ainsi estimé qu’il fallait associer ses coéquipiers du Barça à l‘événement footballistique le plus prestigieux du continent.

Mais, pas seulement Messi et Ronaldinho. « Il s’agit de ceux avec qui j’ai joué, mais aussi des anciennes gloires du football camerounais », a déclaré l’ancienne star citée par le site local 237online.com. « C’est une occasion que nous offrons aux anciens footballeurs en leur disant : voici un projet où vous pouvez travailler maintenant et après », a ajouté l’ancien capitaine des Lions indomptables.

Y compris les stars du showbiz

L’organe en ligne indique qu’il y aura également des célébrités du showbiz, à l’image du musicien congolais Fally Ipupa.

Si ce match peut se jouer, ce sera la deuxième initiative du genre après le match de gala organisé en 2016 en Turquie à l’occasion du dixième anniversaire de la Fondation Eto’o. Des sommités du football mondial avaient pris part à l‘évenement. Le cas de Lionel Messi, Neymar, Carles Puyol, Kolo Touré, Michael Essien, Fabio Capello, Ronaldo, Eden Hazard, Andrés Iniesta, Deco, Eric Abidal et Louis Saha.

À l’heure où le Cameroun fait feu de tout bois pour construire et/ou aménager les infrastructures qui accueilleront la CAN 2019, toutes les initiatives sont permises pour que la fête soit davantage belle qu’en 1972 quand le pays abrita la 8è édition remportée par le Congo.

Et du côté des adeptes africains du football artistique, on semble déjà accélérer la marche du temps pour que le jour J arrive.

Avec Africanews.com

Bilan à mi-parcours de l’entrepreneuriat au cours primaire

0

L’ONG la colombe a organisé ce jeudi 22 novembre, un séminaire d’information avec ses partenaires et les responsables des bénéficiaires du Projet Initiation de la culture entrepreneuriale à l’Ecole primaire (PICEEP) au Togo.

Placée sous le thème « Entrepreneuriat à l’école primaire au Togo-Enjeux et perspectives : quelles contribution des acteurs » ? Cette rencontre permet aux acteurs d’informer les participants des activités déjà menées, les effets attendus, les résultats à court, moyen et long terme dudit projet. Et de mener des réflexions pouvant permettre la promotion de la culture entrepreneuriale et redynamiser l’esprit d’entreprise chez les jeunes et adultes et motiver l’esprit d’entreprendre chez  les enfants

Au cours de l’atelier, trois thématiques ont été évoquées notamment les généralités sur l’entrepreneuriat, l’entrepreneuriat à l’école primaire-enjeux et perspectives, et l’expérience de l’ONG la Colombe sur  l’entrepreneuriat à l’école primaire.

De fait, le gouvernement togolais s’est engagé à accompagner des initiatives de ce genre, pour la promotion de l’éducation de qualité. Ainsi, plusieurs réformes de formation ont été réalisées et d’autres en cours.

Le Projet Initiation de la culture entrepreneuriale à l’Ecole primaire a été initié en 2016. Il est exécuté dans quatre écoles primaires de Lomé, notamment l’EPP Lankouvi, école Elite la Providence, école la bonne semence et l’EPP Copegan.

Vigninou Gammadigbe décroche le prix Abdoulaye Fadiga pour la Promotion de la Recherche économique

0

L’intelligentsia togolaise encore à l’honneur. Le Prix Abdoulaye Fadiga pour la promotion de la recherche économique, édition 2018, a été décerné hier au Togolais Gammadigbé Vigninou. Doctorant à la Faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg) de l’Université de Lomé, M. Vigninou est l’auteur de l’article intitulé : «Survie des banques de l’Uemoa : les nouvelles exigences de fonds propres sont-elles pertinentes ?» La cérémonie de remise du prix a pour cadre le siège de la Bceao.

L’identité du lauréat de la 6e édition du Prix Abdoulaye Fadiga pour la promotion de la recherche économique a été dévoilée hier. Il s’agit du doctorant à la Faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg) de l’Université de Lomé, Gammadigbé Vigninou. De nationalité togolaise, M. Vigninou a présenté une étude intitulée : «Survie des banques de l’Uemoa : les nouvelles exigences de fonds propres sont-elles pertinentes ?»
Cet article, explique Pr Adama Diaw, président du comité de lecture du prix, par ailleurs membre du jury, «analyse le rôle des fonds propres réglementaires dans la survie des banques de l’Uemoa afin d’en déduire la pertinence des nouvelles normes baloises entrées en vigueur le 1er janvier 2018». Mieux, souligne l’universitaire, l’étude «traite d’un thème d’actualité et la problématique apparaît claire et pertinente. La revue de la littérature est adaptée et satisfaisante». Examinant la méthodologie utilisée, M. Diaw relève qu’elle «est novatrice, bien présentée et justifiée».
Et, selon lui, «les enseignements et recommandations issus des résultats de l’étude sont clairs et confirment l’importance que doivent accorder les autorités monétaires et bancaires aux avantages d’une bonne capitalisation.
Les conclusions de l’article indiquent principalement que les fonds propres jouent un rôle important dans la survie des banques de l’Uemoa, en réduisant de manière significative leur probabilité de faillite. Ces fonds propres disposent d’une capacité prédictive de difficultés bancaires sur un horizon temporel allant de 1 à 3 ans. Ainsi, une hausse du ratio des fonds propres de 1% se traduit par une baisse de probabilité de faillite des banques de l’Union située entre 2,16% et 2,73%».
Au total, précise Pr Diaw, «l’étude plaide pour une meilleure gestion des institutions bancaires relativement au pilotage des fonds propres et à la prise de risque. Il s’agit d’une contribution pertinente et de portée significative, qui rend compte d’un travail sérieux et de très bonne facture».
Quant au Prix d’encouragement, il a été attribué à Aboudou Ouattara, de nationalité ivoirienne, enseignant-chercheur au Centre africain d’études supérieures en Gestion (Cesag) au Sénégal, à Kouamé Désiré Kanga, de nationalité ivoirienne, enseignant-chercheur à l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (Ensea) en Côte d’Ivoire et à Ruben Barnabas Djoubenou, de nationalité béninoise, ingénieur statisticien économiste au Cabi­net du Conseiller spécial du Premier ministre du Sénégal et à l’Institut des futurs africains (Ifa). Ces trois lauréats sont co-auteurs de l’article intitulé : «Hétéro­généité des économies de la Cedeao : quel défi pour une politique monétaire commune ?»
Une étude qui, d’après Pr Diaw, «aborde la question de l’optimalité de la politique monétaire en union monétaire en examinant de façon prospective les conditions d’une plus grande efficacité d’une politique commune à l’échelle de la Cedeao. A cette fin, l’article analyse la réaction des pays de la Cedeao à un choc commun de politique monétaire en tenant compte de l’hétérogénéité de leurs économies».
Et comme récompense, le lauréat du Prix Abdoulaye Fadiga empochera une somme de dix millions de francs Cfa plus une attestation de réussite. Et pour les élus du Prix d’encouragement, ils encaisseront chacun une somme de cinq millions de francs Cfa plus une attestation de réussite.
Conformément aux engagement de la Bceao, ces lauréats devraient «pouvoir solliciter la Banque pour obtenir une bourse leur permettant de terminer leurs recherches et un séjour pendant deux ans à la Banque au cas où ils souhaiteraient aller un peu plus loin dans leur connaissance de l’institution d’émission».
Pour rappel, «cette 6e édition a été lancée le 31 juillet 2017 et la date limite de réception des candidatures avait été fixée au 31 juillet 2018. A cette date, 37 articles ont été reçus. Ces articles, préalableent mis sous anonymat, ont fait l’objet d’évaluation par un Comité de présélection, le 25 septembre 2018. A l’issue des travaux dudit Comité, 9 articles ont été retenus et soumis à l’attention des membres du Comité de lecture».
Le Comité de lecture du Prix Abdoulaye Fadiga a pour rôle d’examiner la valeur scientifique des articles qui lui sont soumis suivant quatre critères clés, à savoir la pertinence de la problématique, la qualité de la revue de la littérature, la robustesse de la méthodologie et la rigueur de l’analyse des résultats. C’est sur la base de ces critères ainsi que la contribution des articles à la réflexion sur les problèmes économiques auxquels sont con­frontés les Etats membres de l’Uemoa, que les membres du Jury ont fait le choix des deux articles qui ont été primés, note le président du Comité de lecture.
Décerné tous les deux ans, le Prix Abdoulaye Fadiga vise à promouvoir et à renforcer la recherche économique dans l’espace Uemoa. Ainsi, soutiennent les autorités de la Bceao, «il devrait favoriser l’émergence de travaux de recherche de qualité sur la formulation et la mise en œuvre de politiques économiques pertinentes pour le développement desdits Etats ainsi que la prise en charge, par les milieux scientifiques nationaux et internationaux, des questions relatives à une meilleure connaissance des économies de l’Union… ».
«Donner au Prix Abdoulaye Fadiga une dimension africaine»
Le Gouverneur de la Bceao a annoncé hier de nouvelles initiatives qui devraient permettre d’élargir le champ de la recherche économique. Tiémo­ko Meyliet Koné veut étendre le Prix Abdoulaye Fadiga à toute l’Afrique. «Nous espérons aussi pouvoir dans les prochaines années, donner à ce prix une autre dimension dans le cadre d’une fondation qui porterait son nom (du Gouverneur Fadiga)», a déclaré hier l’autorité de l’institution d’émission, à l’occasion de la cérémonie de remise de la 6e édition du prix, qui a été institué pour honorer la mémoire du premier gouverneur africain de la Bceao. L’édition 2018 a coïncidé avec la commémoration du trentième anniversaire de son décès.
La Bceao obtient la norme de sécurité de données
La cabinet Lmps, un groupe marocain spécialisé dans les métiers de la sécurité de l’information, de la conformité et de la gestion des risques, a profité de la cérémonie de remise du Prix Abdoulaye Fadiga, qui a eu lieu hier dans les locaux de l’institution d’émission, pour remettre au Gouverneur, Tiémoko Mey­liet Koné, un certificat de conformité à la norme Pci dss.
Cette distinction découle, selon les collaborateurs de Koné, d’un audit qui a été effectué à travers le système d’information de la banque et à l’issue duquel le périmètre des données des porteurs de cartes bancaires du système d’information de la Bceao a été jugé conforme à la norme de sécurité de l’industrie des cartes de paiement (Payment card industry data security standard ou Pci dss) pour une durée d’un an, à compter du mois d’avril 2018.
Avec SN

Tony Blair accompagne le Togo pour la réussite du PND

0

L’ancien premier ministre britannique Tony Blair, l’ex-représentant du Proche Orient du Quartet (ONU, UE, Etats-Unis et Russie) a été reçu ce mercredi par le président Faure Gnassingbé.

M. Blair conseille les autorités togolaises. Il y a 10 ans que sa société de conseil auprès des gouvernements étrangers, africains, de l’Institut Tony Blair pour le changement global, aidez les pays en développement à se familiariser avec leur politique d’investissement.

« Nous travaillons avec le chef de l’Etat et le gouvernement pour accompagner le PND, j’ai une grande confiance dans l’avenir du Togo parce que je crois que le président et son équipe ont fait les bonnes décisions » à-il déclaré.

Plan national de développement et de transformation du pays, un pôle de transformation agricole, manufacturier et industries extractives.

Tony Blair travaille sur les investissements prioritaires, sur la réalisation, sur le climat des affaires et sur la réalisation de la cellule.

Son intervention et ses contacts à l’international sont facilement convertis.

les députés de l’opposition disent encore non au projet de loi du gouvernement

Les députés de l’opposition parlementaire ont encore une montré leur désaccord à ce qu’eux même appellent « le forcing » du pouvoir en place en ce qui concerne l’opération des réformes et l’organisation des élections. En pleine commission de l’étude du projet de loi portant sur la révision de constitution, ils se sont levés.

Selon les informations, les députés de l’opposition ont préféré plutôt le projet de loi de l’expert de la CEDEAO. Du coup, ils ont tous craché sur celle envoyée par le gouvernement en quittant l’hémicycle.

Le mandat dont l’exercice est en cours entre dans le décompte du nombre de mandats autorisés par l’article 59

La constitution de l’expert Sénégalais mandaté par la CEDEAO aurait révélé en son article 59 nouveau : « Le Président de la république est élu au suffrage universel, libre, direct, égal et secret pour un mandat de cinq (5) an, renouvelable une seule fois“. “Nul ne peut exercer plus de deux mandats présidentiels ou proroger le mandat pour quelque motif que ce soit. Cette disposition ne peut faire l’objet d’une révision ».

Et comme disposition transitoire « le mandat dont l’exercice est en cours entre dans le décompte du nombre de mandats autorisés par l’article 59 ».

Pour la députée de l’ANC Isabelle Ameganvi, les députés de l’opposition ne peuvent pas cautionner ce qui se fait.

« Nous ne pouvons, dès lors, nous rendre complice d’un jeu politiquement néfaste en participant à l’étude du projet de loi de révision constitutionnelle unilatéralement, adopté par le gouvernement » a-t-elle déclaré.

 

 

Le Togo a célébré la journée de l’industrialisation de l’Afrique

0

Le ministère de l’industrie et du tourisme du Togo a célébré ce mardi 20 novembre  la journée de l’industrialisation de l’Afrique.  Et c’est le site du laboratoire TONGMEI dans la zone industrielle de Lomé qui a servi de cadre pour la célébration de cette fête. Les activités de la journée ont été lancées par le Ministre en charge de ce secteur, Ihou Atigbe.

Placé sous le thème : « promouvoir les chaînes de valeurs régionale en Afrique : un moyen d’accélérer la transformation structurelle, l’industrialisation et la production pharmaceutique de l’Afrique».

La journée a été couplée du 20ème anniversaire du laboratoire TONGMEI.

Les Évêques en appelle à un sursaut patriotique

Très préoccupante de la situation que traverse le Togo surtout à quelques semaines des élections législatives, la Conférence  des évêques du Togo (CET) dans un communiqué invite les acteurs politiques à œuvrer pour un climat apaisé. Car ce groupement des prélats catholiques du Togo, voit en cette situation, des présages indiquant des lendemains désastreux pour le Togo.

« Alors que se rapproche la date des élections législatives convoquées par le gouvernement, la tension ne cesse de monter et nous redoutons le pire si rien n’est fait à temps pour désamorcer la situation et apaiser le climat » indique le document.

Quant à la CEDEAO pour la résolution de la crise, les évêques pensent que  l’espoir suscité par l’implication de l’institution dans la résolution de la crise qui secoue le pays depuis plus d’un an, cède lentement le pas à la désillusion et à la déception et le désespoir, une fois encore, s’est emparé du pays.

Dans leur déclaration, ces hommes de Dieu n’ont pas manqué d’épingler le pouvoir pour sa façon de mettre en application de la feuille de route de la CEDEAO.

« La préparation unilatérale en violation flagrante de certaines dispositions contenues dans la feuille de route de la CEDEAO, risque de conduire de nouveau le pays vers le chaos » ont-ils indiqué dans le document.

« La tenue des élections sans les réformes qui s’imposent ne résoudra pas le problème togolais. Elle ne fera qu’exacerber les tensions et les violences », ont-ils ajouté

Selon la CET, il faut un changement du système de gouvernance. « Ce dont le Togo a fondamentalement besoin c’est un changement profond dans la manière de gouverner et de faire la politique, car quel que ce soit  celui qui sera à la tête de notre nation, si le système ne change pas, les problèmes à coup sûr, ne connaitront pas de répit ».

Pour finir la Conférence des évêques du Togo appelle les acteurs politiques et les protagonistes à un sursaut patriotique, à l’amour et à la prise de conscience. Pour ce faire, il faut que les acteurs politiques arrêtent leurs des calculs partisans.

Législatives 2018 : La HAAC forme son personnel au monotoring

0

La formation des agents du service monitoring de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) s’est tenu ce mercredi sur le thème : « Pour un suivi efficient des organes de presse dans le respect des normes professionnelles ».

Dans le cadre du pluralisme d’opinions et de l’accès équitable aux médias publics comme privés, de toutes les tendances politiques ou candidats indépendants qui compétissent aux élections législatives du 20 décembre prochain. Il a été procédé, au cours de la rencontre, à une revue des textes fondamentaux devant permettre aux participants de faire une analyse objective des contenus des productions audiovisuelles et des articles de presse pour un suivi efficace des temps de parole et d’antenne.

L’une des missions constitutionnelles de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) en période électorale est de veiller au suivi du contenu des messages et de s’assurer que les organes de presse respectent les différentes dispositions mises en place.