La société ZENER célèbre le 7 juin 2024 la Journée du GPL (Gaz de Pétrole Liquéfié). C’est une journée qui permet de sensibiliser le public sur le GPL comme source d’énergie alternative et d’explorer les métiers du secteur.
Cette journée est également l’occasion pour les ménages, industries et législateurs de se tenir informés des tendances et développements du secteur, de rencontrer des experts, de créer des contacts professionnels et de contribuer au dialogue sur l’avenir de cette énergie importante.
“Le GPL (Gaz de Pétrole Liquéfié) est une énergie dérivée du traitement du gaz naturel et du raffinage du pétrole, composée de propane et butane. Il est adapté à de nombreuses utilisations domestiques et industrielles comme la cuisson, le chauffage, et la production d’électricité. Le GPL est également utilisé dans l’agriculture, l’industrie et le commerce” a mentionné la société ZENER dans un communiqué.
La société ZENER, un véritable acteur du GPL. Ainsi, en tant que pionnière dans le domaine de l’énergie propre, ZENER a investi dans des infrastructures de distribution et des partenariats stratégiques pour des solutions locales. ZENER promeut le GPL comme source d’énergie propre et efficace dans l’industrie.
Le 1er mai 2024 à Paris, le GPL a été au centre des discussions lors du sommet mondial sur la cuisson propre en Afrique, avec le président français, Emmanuel Macron. Le président de la BAD a souligné l’importance du GPL pour préserver l’environnement et améliorer la santé des familles africaines, tout en promouvant une croissance économique inclusive.
Le président de la République togolaise a exprimé son engagement à promouvoir le crédit carbone en Afrique, notant que l’Afrique pourrait générer environ deux tiers de la réduction des émissions de gaz à effet de serre grâce au passage à la cuisson propre.
En effet a l’occasion de la célébration de la célébration de cette journée de GPL, la société ZENER organisé des initiatives pour véritablement marquer la journée.
Ainsi pour marquer la Journée du GPL, ZENER propose des événements éducatifs et des campagnes de sensibilisation. Cette campagne se fera à travers des supports pédagogiques et ressources en ligne pour une utilisation responsable du GPL.
C’est aussi une occasion pour la société de nouer des partenariats avec des acteurs clés pour étendre l’accessibilité du GPL. Soutien à des projets locaux promouvant le GPL, comme des installations de cuisson dans les écoles et hôpitaux.
Il faut relever que la célébration de cette journée culminera en novembre 2024 avec des activités où ZENER et les experts discuteront des avantages du GPL, des innovations récentes et des perspectives.
ZENER est un groupe de sociétés d’énergies, dédié à fournir des solutions énergétiques innovantes et durables. Ancré dans les valeurs de Liberté, Modernité et Mobilité, nous nous engageons à améliorer la vie des communautés par des technologies propres et respectueuses de l’environnement
Parlez-nous un peu de votre association Le club des 7 jours ?
Le club des 7 jours est une association de jeunes créée en 2006 et œuvrant dans la lutte contre le VIH auprès des groupes vulnérables. Dans le contexte de la lutte contre le Vih, nous travaillons prioritairement avec les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes (HSH), les professionnelles du sexe et leurs clients, les usagers de drogues, les personnes transgenres, de même que les jeunes qui sont en contacts avec les points chauds. Nous travaillons à la sensibilisation sur le VIH et les IST à travers les pairs éducateurs formés et qui font des causeries éducatives sur le terrain. Nos activités portent aussi sur la documentation des cas de violences basées sur le genre (VBG). Nous assurons le référencement de nos pairs vers les structures de prise en charge notamment pour la confirmation des cas du Vih positifs en communauté ou bien pour le traitement des IST. Nous travaillons aussi au renforcement de capacités et formations de certains acteurs clés notamment des médias, des agents de police ou encore des prestataires de soins dans le sens de la création d’un l’environnement favorable afin de garantir une offre de services adéquate aux populations clés. Nous œuvrons également dans l’empowerment pour le renforcement de l’estime de soi de nos pairs. Il nous arrive aussi d’octroyer des micro-crédits à certains de nos pairs, contribuant ainsi à leur autonomisation financière.
A quels objectifs répond le projet «The scale initiative » que votre association met en œuvre
«The scale initiative » est un projet financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) qui a pour objectif principal la création d’un environnement favorable et plus inclusif pour les populations clés au Togo. L’idée est de sensibiliser à la diversité, de fournir un soutien psychosocial et de plaider pour le droit des populations clés en matière de lutte contre le Vih et le Sida. Le projet travaille au renforcement des capacités des acteurs et responsables des associations identitaires sur les voies et recours en matière de violation des droits de l’homme et sensibiliser les populations clés elles-mêmes sur le contexte légal togolais. A travers ce projet, nous renforçons également le réseau des alliés et personnes friendly à la création d’un environnement favorable dans l’offre de services en droits et santé aux populations clé en matière de lutte contre le Vih afin que le Togo puisse atteindre l’objectif des 3×95 de l’ONUSIDA à l’horizon 2030.
Quelle est de nos jours la situation de la lutte contre le Vih au sein des populations clés notamment des Hommes ayant des rapport Sexuel avec d’autres Hommes (HSH) ?
Le Togo a fait de très grands progrès en matière de lutte contre le Vih notamment auprès des populations clés. On a connu une baisse de la prévalence du Vih qui est passée de 22, 98 % en 2017 à 7,8 % en 2022 selon des données. La lutte est de plus en plus orientée vers les communautés avec une très grande implication des populations clé, ce qui fait que les messages et actions sont ciblés vers les réels besoins de la communauté. De nos jours on ne peut pas parler de la lutte contre le Vih sans les populations clés. C’est la conjugaison de l’ensemble de ces efforts qui a permis d’avoir ce résultat. Les actions gouvernementales et au niveau de la société civile sont donc à saluer. Cependant, à ce taux, il faut dire que la prévalence est encore élevée par rapport à la population générale qui est de à 1,7 % « selon l’estimation EPP/Spectrum de 2022). Ceci suppose qu’il y a encore beaucoup d’efforts à faire pour venir à bout de l’épidémie du Vih.
Parlant des droits humains, pensez-vous que les droits des minorités sexuelles à la santé en matière du Vih sont suffisamment respectés au Togo ?
Je dirai qu’il y a du positif mais il y a toujours des progrès à faire. Car le rapport de l’enquête « index stigmat 2.0 », montre qu’il y a toujours des cas de stigmatisation et de discrimination dans l’offre des services de soins aux populations clés, notamment aux HSH surtout pour ce qui concerne les pathologies spécifiques à la cible. Les besoins en termes de soins et de traitements sont toujours problématiques à satisfaire, surtout au niveau de l’intérieur du pays. Les personnes efféminées par exemple sont très souvent stigmatisées même en milieu de soins.
Les populations clés, notamment les HSH, sont-elles sujets à des violences basées sur le genre (VBG) ?
Oui, il y a des cas documentés de par le passé et même aujourd’hui. Par exemple, il ressort de nos données documentées dans le cadre du projet que nous mettons actuellement en œuvre, que de février 2024 à avril 2024, (en l’espace de 3 mois), il y a eu 17 cas de VBG et de l’expression de l’identité de genre : les cas vont des agressions verbales aux agressions physique avec malheureusement deux (2) cas de viols. C’est pourquoi, en ce qui nous concerne, nous faisons notre part en sensibilisant nos pairs sur le contexte sociologique et juridique du pays afin d’éviter que certains comportements ne heurtent la sensibilité des gens, et ainsi nous contribuons à prévenir les violences.Quels sont les principaux arguments pour des plaidoyers éventuels des populations clés auprès des décideurs au Togo ? Notre argument phare est la lutte contre le VIH qui demeure un réel problème de santé publique. C’est pourquoi nous travaillons et nous appelons la population à éviter la discrimination et la stigmatisation afin que les populations clés notamment les HSH puissent avoir le courage de se faire dépister et s’offrir les services mis à leur disposition afin de réduire la prévalence du VIH en leur sein. Violenter les HSH ne doit pas être légitimé, juste parce qu’il y a une loi qui condamne l’homosexualité au Togo. C’est pourquoi nous encourageons à l’acceptation de la différence. Dans une société, tout le monde ne peut pas vivre pareil.
Quel est le regard que vous portez sur l’attitude d’exhibition de leur identité sur les réseaux sociaux de la part de certaines personnes de minorités sexuelles ?
Il faut dire que c’est une question un peu compliquée. Peut-être pour ceux-là, c’est de l’activisme car il y a plusieurs manières de faire l’activisme. Mais nous, nous ne sommes pas dans « le faire voir ». Nous faisons de l’activisme passif. Il faut reconnaitre qu’il y a certains agissements de certains de nos pairs de la communauté LGBTQ qui laissent à désirer sur les réseaux sociaux. Ce sont des attitudes que nous-mêmes nous n’apprécions pas. Et souvent, nous rentrons en contact avec certains pour essayer de les canaliser et leur rappeler un certain nombre de réalités du contexte togolais sur la pratique. Car nous constatons que beaucoup ignorent ces réalités notamment sur l’aspect légal. Certains ne savent pas qu’ils peuvent tomber sous le coup de la loi à partir de tel ou tel agissement. Tout ce qui entoure les articles 392 et 393 du code pénal togolais et la question d’entrave aux bonnes mœurs ne sont pas suffisamment maitrisés par tous. De plus, il y a une loi qui porte un regard sur tout ce qui est publié sur les réseaux sociaux. Souvent les attitudes condamnables ne sont pas directement en lien avec l’orientation sexuelle mais plutôt sur l’usage des réseaux sociaux. C’est des situations sur lesquelles nous travaillons pour que cela soit évité autant que faire se peut.
Selon les données à votre disposition, à combien peut-on estimer aujourd’hui les HSH au Togo ?
Selon les données de l’enquête de Surveillance de Seconde Génération (SSG) du VIH couplée de la cartographie programmatique chez les populations clés, réalisé en 2022 par le programme national de lutte contre le Vih Sida (PNLS), l’effectif des HSH au Togo est de 14 012 en moyenne.
Quel est à ce jour l’impact de vos actions sur le changement de comportements surtout en matière de respect des droits et de la dignité des minorités sexuelles ?
D’abord il faut préciser que nous ne travaillons pas seuls et surtout rappeler que les résultats relèvent d’un engagement collégial de toute la communauté, de la partie nationale et des organisations de la société civile. On peut dire clairement qu’aujourd’hui, la majorité de HSH ont accès aux offres de services de prévention des IST et du VIH. De nos actions de sensibilisation, il ressort que les violences, même si elles existent, il y a une amélioration. Avec l’aide de nos partenaires, nous avons des services adaptés sur toute l’étendue du territoire. Nous travaillons avec les structures étatiques comme la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), et des acteurs de défense des droits humains, avec les journalistes et avec les prestataires de soins pour ce qui relève de l’information et de l’éducation de la population et de la création d’un environnement favorable. Globalement, il y a des avancées, mais il faut que le cap soit maintenu. Votre message de fin.Nous saisissons cette opportunité pour témoigner notre gratitude aux structures de l’Etat notamment le Secrétariat Permanent du CNLS-IST et le PNLS-HV-IST, de même que les organisations de la société civile et aux structures de prise en charge. Nos remerciements vont également au PNUD, partenaire du projet « The Scale inititive », et à l’ONUSIDA, partenaire clé de lutte contre le VIH au Togo. Mon message à l’endroit de la population est celui-ci : On ne peut pas gagner la lutte contre le Vih SIDA sans garantir un environnement favorable pour l’offre de services efficace aux populations clés.
La stigmatisation et la discrimination des populations clé notamment des HSH doivent absolument être évitées si nous voulons atteindre l’objectif des 3×95 de l’ONUSIDA à l’horizon 2030.
Lomé est le théâtre de la première édition de la Semaine de l’Intelligence Artificielle (SIA). L’événement a été officiellement lancé ce mardi 4 juin 2024 par Mme le ministre de la Communication, Yawa Kouigan, représentant le chef de l’État, Faure Gnassingbé.
Cette première édition qui s’ouvre à Lomé pour une semaine est placée sous le thème « L’IA au Togo et en Afrique : état des lieux, opportunités et enjeux sociétaux », vise à sensibiliser le grand public, les étudiants, les décideurs et les institutions sur les avancées et les applications de l’intelligence artificielle (IA).
Pendant cinq jours, les participants vont assister des conférences animées par des experts, à des démonstrations pratiques et à des stands tenus par des entreprises présentant des produits et solutions concrètes. L’événement, organisé sous l’égide de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale du Togo (CNSS), de CONIIA et de Human Al, entend faciliter la compréhension de l’IA à travers divers ateliers interactifs et conférences informatives.
Le président-fondateur de Human Al, Jérôme RIBIERO, a déclaré au lancement des travaux qu’« À travers cette rencontre de Lomé, nous allons cultiver sur l’intelligence artificielle. On va démystifier l’intelligence artificielle, enlever vos peurs et vous donner l’espoir d’un avenir où vous pourrez prendre en main votre destin. Nous vous donnerons les moyens de vous former sur les outils de l’IA et de participer à cette richesse, peut-être même de sauver le monde à travers l’IA. Ce qui a changé, c’est la puissance de quelques ordinateurs et l’accessibilité à des données. Aujourd’hui, le berceau de l’humanité, c’est l’Afrique, la jeunesse est un atout pour l’Afrique. »
En lançant officiellement les travaux, Mme Yawa Kouigan a invité les participants à profiter pleinement des connaissances partagées au cours de cette semaine de l’IA. « Je vous invite à l’assiduité et à l’ouverture d’esprit, en particulier pour nos jeunes férus de technologie. Profitez au maximum de toutes les connaissances qui seront partagées au cours des conférences, expositions, démonstrations et ateliers pratiques pour établir des connexions et des collaborations durables pour le développement et l’utilisation responsable de l’IA au Togo et en Afrique, » a-t-elle déclaré.
Elle a également réaffirmé l’engagement du gouvernement togolais : « Je vous réitère la disponibilité du gouvernement togolais sous la houlette de Faure Gnassingbé, président de la République, à travailler de concert avec vous pour le développement et la promotion d’une utilisation utile et responsable des nouvelles technologies de l’IA en Afrique et au Togo. La particularité des questions qui nous rassemblent ici à Lomé et leur transversalité absolue montrent que l’IA touche tous les aspects de la vie humaine, de l’accès universel aux soins de santé à la fourniture de l’électricité. ».
Il s’agira, avec cette rencontre, de sensibiliser et d’éduquer le grand public sur l’importance et l’impact croissants de l’IA dans le monde contemporain, de faciliter la compréhension de cette technologie grâce à des approches pratiques, et d’encourager les échanges entre professionnels, académiques et passionnés de technologie.
Naturellement, cette rencontre est une importante opportunité de réseautage et d’échanges professionnels autour des questions technologiques. Au carrefour de la technologie et de l’humanité, la SIA 2024 célèbre les esprits créatifs qui redéfinissent les possibles. Elle vise à puiser dans notre héritage pour bâtir l’intelligence de demain. La SIA 2024, c’est la célébration de l’esprit innovateur africain au service des communautés
En effet, au cours des travaux, les experts partageront des approches de régulation de l’IA. Les experts expliqueront pourquoi la régulation est nécessaire pour une utilisation sûre et équitable de l’IA. La session inclura des études de cas et des discussions sur les cadres législatifs.
“L’Afrique est à l’aune du développement technologique et le potentiel de l’IA pour transformer nos sociétés, nos économies, nos vies quotidiennes est immense. Nous avons l’opportunité unique d’utiliser ces technologies pour relever certains défis mes plus pressant auxquels nous sommes confrontés tels que la santé, l’accès à l’éducation, l’agriculture durable, les emplois pour les jeunes. Je suis convaincu que cette semaine entièrement consacrée à l’intelligence artificielle sera une source d’inspiration et de motivation pour chacun de nous. Ensemble nous pouvons façonner un avenir où la l’intelligence artificielle est au service des biens communs, un avenir où chaque africain peut toutefois travailler dans un monde augmenté. Cependant cet événement qui réunit différents experts en IA, sera une source d’inspiration et de motivation ou chacun de nous ensemble pourra façonner un avenir où l’évidence de l’intelligence artificielle sera au service bien commun” a relevé Tout mentionnant que “L’IA doit être guidée par des principes d’éthique solides pour veiller à ce que cette technologie soit utilisée de manière spéciale et inclusive. Nous devons nous assurer que l’intelligence artificielle respecte nos valeurs, notre diversité et nos aspirations collectives. La SIA 2024 marque une étape dans notre quête collective pour explorer, comprendre et exploiter le potentiel immense de l’intelligence artificielle sur notre continent. L’État des lieux de l’intelligence artificielle en Afrique et au Togo permet de rendre compte que l’intelligence artificielle est en train de transformer le monde et l’Afrique n’est pas en reste. Des initiatives remarquables sont déjà sur le continent en témoigne notre capacité à innover et à s’adapter aux technologies de pointe. Le Togo a à son tour fait des pas significatifs dans cette révolution numérique et les objectifs de la SIA 2024 sont également conformes à ceux de la feuille de route gouvernementale 2020 2025 notamment l’axe 3 qui vise la digitalisation des principaux services publics. En outre, la participation effective des jeunes à cette première édition de la SIA vient appuyer la politique d’employabilité des jeunes portée par le chef de l’État Faure Gnassingbé. S’agissant des opportunités offertes par l’IA, le Togo et l’Afrique sont immenses et permettent de relever certains de nos défis par le plus pressant notamment le secteur de l’éducation. Aujourd’hui l’IA peut rendre l’éducation beaucoup plus accessible et personnalisée s’agissant des opportunités offertes par l’IA dans n’importe quel domaine relevé certains de nos défis d’apprentissage adaptatif qui peut répondre au besoin individuel des étudiants permettant ainsi une meilleure connaissance” a-t-il expliqué pour finir Dr Malik Mouzou, président du Conseil International de l’IA (CONIIA).
Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé s’est entretenu, ce 03 juin 2024 à Séoul, avec le Président de la République de Corée Yoon Suk-yeol au palais présidentiel, sur la coopération bilatérale et les questions d’intérêt commun.
Le Togo et la Corée du Sud sont liés par un partenariat dans différents domaines notamment diplomatique, économique, commercial, agricole, éducatif et culturel.
Les deux chefs d’Etat ont convenu des mécanismes de renforcement de cette coopération dans des secteurs prioritaires, notamment l’éducation (science technologie, ingénierie et mathématiques), la santé, les infrastructures et l’autosuffisance alimentaire.
Pour le Togo, il est question de s’inspirer du modèle de développement de la Corée qui, de pays pauvre dans les années 60, est devenu, aujourd’hui, un pays pourvoyeur d’aide.
Le chef de l’Etat et son homologue ont également évoqué les questions d’ordre international relatives à la paix et à la sécurité et surtout au terrorisme et à l’extrémisme violent que connaissent les pays du Sahel et leurs voisins.
La coopération entre Lomé et Séoul remonte à juillet 1963 avec l’établissement des relations diplomatiques. Ce partenariat a connu ces dernières années un nouveau dynamisme avec la visite en mars 2023 du Ministre togolais des affaires étrangères en Corée du Sud et celle du Premier ministre sud-coréen au Togo en octobre 2023.
Le jeu “Promo Challenge Réabonnement Fibre” comptant pour la période du 6 au 26 mai 2024, vient de faire des heureux gagnants. Il s’agit d’une trentaine d’abonnés de TOGOCOM à être récompensés, ce vendredi 31 mai au siège de la société à Lomé.
La cérémonie de remise des lots s’est déroulée, en présence des huissiers de justice et des représentants de la Loterie Nationale (Lonato), garants de la conformité du jeu.
A cette occasion, les gagnants ont reçu divers lots hebdomadaires et mensuels, notamment des téléviseurs 55 pouces, des combinés téléphoniques et des abonnements Netflix d’un an.
“C’est avec beaucoup de joie que nous avons primé une fois de plus une trentaine de lauréats ce soir. Nous sommes également très heureux de l’engouement autour de cette campagne de promotion, car cela prouve que les fidèles consommateurs sont attentifs et réceptifs aux initiatives de TOGOCOM. C’est une joie de savoir que la promesse de proximité que nous avons faite avec nos fidèles abonnés tient ses promesses, et que ces consommateurs renouvellent à chaque fois ce mariage de fidélité”, a laissé entendre Edward Nouwossan, Responsable marketing fibre jusqu’au domicile chez TOGOCOM.
Démarrée le 8 avril 2024, cette offre promotionnelle de TOGOCOM, leader du marché des télécommunications au Togo, vise à célébrer et récompenser la fidélité des abonnés, notamment les détenteurs de la box TOGOCOM (internet fixe).
Le jeu est entièrement gratuit et ne nécessite aucun effort de la part du client.
“Le principe est simple. Il suffit simplement de faire le réabonnement de votre ligne fibre TOGOCOM via la syntaxe *145*434# ou l’application TMoney de TOGOCOM disponible sur Play Store. Il n’y a pas de frais supplémentaires. Avec le renouvellement de l’abonnement, vous êtes éligible pour deux tirages au sort : d’abord le tirage au sort hebdomadaire qui vous permettra de repartir avec des lots comme des Smart TV, des combinés téléphoniques et un an d’abonnement Netflix, puis vous serez éligible pour le tirage mensuel qui vous permettra de remporter des gros lots, dont des salons complets et des tablettes iPad”, a précisé M. Edward Nouwossan.
Les lauréats de ce tirage ont exprimé leur gratitude à l’égard de TOGOCOM pour cette initiative innovante et ont souhaité qu’elle se poursuive.
“C’est une grande joie qui m’anime ce soir parce que je ne m’y attendais pas du tout. Je n’ai fait que me réabonner à l’internet fixe de TOGOCOM et quelques jours après, j’ai reçu un appel de la direction générale pour m’annoncer que j’ai gagné une Smart TV de 55 pouces. Je dis un sincère merci à TOGOCOM. C’est vraiment bien pensé, cela nous va droit au cœur”, a confié M. Traoré Hara, lauréat.
La campagne se poursuit jusqu’au 7 juillet prochain. Plus de 130 lots, comprenant des téléviseurs 55 pouces, des combinés téléphoniques, un an d’abonnement Netflix, des tables à manger avec chaises, des salons complets et des tablettes iPad seront distribués tout au long de cette campagne.
Il est à noter que le Wifi illimité de TOGOCOM offre la gamme de débits la plus complète sur le marché avec 50 Mbps, 100 Mbps et 200 Mbps.
Ce 29 mai 2024, une délégation de l’institut Tony Blair conduite par Tony Blair, a rencontré la cheffe du gouvernement togolais, Victoire Tomégah-Dogbé.
Cette rencontre a pour objectif d’évaluer les projets réalisés au Togo avec l’aide de son institut et de discuter des améliorations possibles pour renforcer ce partenariat.
L’Institut Tony Blair a collaboré avec le gouvernement togolais sur divers projets, notamment dans les domaines de l’énergie, de l’industrie et de l’agriculture. Pour Tony Blair, il est essentiel de développer une vision claire pour le Togo.
Il souhaite intensifier ce partenariat pour obtenir des résultats concrets et considère qu’il est crucial d’accompagner le pays dans la réalisation de la vision du président togolais pour les années à venir.
Le premier ministre Victoire Tomégah-Dogbé a salué le soutien de l’Institut Tony Blair dans les efforts de développement du Togo.
« Vous continuez à nous fournir de l’expertise. Que ce soit dans le secteur de l’agriculture, de l’économie maritime, de l’énergie ou du tourisme, votre appui a été de grande qualité. Le partenariat entre l’Institut Tony Blair et le Togo vise à améliorer les actions au profit des populations » , a-t-elle déclaré.
Un nouveau cadre de partenariat a été défini pour poursuivre la mise en œuvre des projets de la feuille de route gouvernementale 2020-2025. De belles perspectives s’annoncent pour les secteurs de l’agriculture, de l’énergie et du climat des affaires au Togo.
Le Togo bénéficie depuis environs dix ans déjà de l’appui de l’Institut Tony Blair pour la réalisation de ses projets de développement. Cet institut, fondé par l’ancien Premier ministre britannique, continue de soutenir le pays dans la mise en œuvre de sa feuille de route gouvernementale 2020-2025.
Il faut relever que l’Institut Tony Blair soutient des projets dans 14 pays africains, mettant à leur service son expérience et son expertise acquises au sein du gouvernement du Royaume-Uni.
Les directeurs centraux des services, les représentants des organisations sous-régionales et les partenaires techniques et financiers prennent part à un atelier national de restitution des résultats de l’Audit réglementaire du commerce des services réunit à Lomé.
Les travaux lancés ce mercredi 29 mai 2024 sont organisés par le Ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, à travers la direction du Commerce Extérieur. Cette rencontre de trois jours va faciliter l’appropriation des résultats de cet audit par les participants en vue de leur bon usage dans les prestations de services et dans la mise en œuvre du protocole sur le commerce des services.
L’Accord portant création de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), signé le 21 mars 2018 à Kigali et entré en vigueur depuis le 1er janvier 2021, vise non seulement à créer un marché unique de plus de 1,3 milliard de consommateurs pour les marchandises et les services mais également à approfondir l’intégration économique du continent africain.
À cet effet, les États membres sont invités à libéraliser progressivement le commerce en général et le commerce des services en particulier.
Le but de l’Audit commandité par la Commission de l’Union Africaine est d’évaluer aussi bien les avantages que les risques de la libéralisation du commerce des services dans les différents États, dont le Togo.
« Il apparaît donc clairement que la libéralisation du commerce des services a un impact sur la performance économique, le développement, les économies réalisées par le consommateur, l’accélération de l’innovation, l’accroissement de la transparence et de la prévisibilité ainsi que le transfert de technologie. La libéralisation n’a pas que des avantages. Elle peut entraîner aussi d’importants risques, surtout pour les petites économies à l’instar de celles des pays les moins avancés comme le nôtre. En effet, l’ouverture du marché des services se traduira inévitablement par une forte concurrence entre les fournisseurs de services et l’éviction de certains fournisseurs nationaux. Pour éviter cette situation, la Commission de l’Union Africaine a décidé, en 2021, d’accompagner certains États, dont le Togo, en mettant à leur disposition des consultants qualifiés pour réaliser un audit réglementaire et une cartographie du commerce des services. Cet exercice laborieux a été réalisé au Togo par Monsieur Doumbouya Sekou, Consultant international. En effet, pendant plusieurs mois, le Consultant, assisté d’experts du ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, s’est investi pour parcourir les textes réglementaires de l’ensemble des 160 sous-secteurs des services », a rappelé la ministre en charge du commerce, représentée à l’ouverture des travaux par son directeur de cabinet, Mensah Koffi Vinyo.
Le rapport d’Audit, qui fait l’objet de restitution, comporte des données quantitatives sur les restrictions à l’entrée des services étrangers et à la circulation des personnes, les obstacles à la concurrence, la transparence réglementaire et les autres mesures discriminatoires qui ont un impact sur la facilité de mener des affaires dans le commerce des services.
Les travaux permettront d’outiller les participants sur la méthodologie de l’audit réglementaire dans le commerce des services, l’interprétation ou la portée et la compréhension des concepts, notamment la réglementation intérieure et le commerce des services.
Selon le représentant du ministre, les résultats de cet audit serviront non seulement au Gouvernement mais aussi aux fournisseurs et prestataires de services qui pourront désormais avoir une idée plus holistique des textes réglementaires qui gouvernent le commerce des services ouverts à la concurrence en termes d’accès au marché et de traitement national.
« Aux Gouvernements, ces résultats permettront de relever les limites des textes législatifs et réglementaires existants au regard du contexte évolutif de la technologie afin de procéder aux réformes nécessaires.
Les résultats les aideront en outre dans les négociations de la ZLECAf et à terme à la bonne mise en œuvre du protocole sur le commerce des services », a ajouté M. Mensah Koffi Vinyo.
Togocom et Orabank-Togo ont signé jeudi un partenariat stratégique portant sur le service mobile Banking, dénommé le Pass Tmoney. Ce nouvel accord vise à faciliter les transactions financières entre les clients communs aux deux institutions.
« Le partenariat entre la banque et les opérateurs télécom sur mobile money est essentiel dans l’écosystème des services financiers mobiles. C’est pourquoi nous sommes heureux de nous associer à Orabank Togo sur le mobile Banking ou nous voulons faire avancer l’inclusion financière » a déclaré Pierre Antoine Legagneur, directeur général de Togocom.
Les clients d’Orabank Togo et de Tmoney peuvent désormais transférer de l’argent entre leurs comptes respectifs directement depuis leur téléphone mobile. Cette innovation permet d’effectuer ces opérations en toute sécurité, à tout moment et sans avoir besoin de se déplacer. Outre les transferts d’argent, il est également possible de consulter le solde et le mini relevé de son compte bancaire.
Pour bénéficier de ce service, les utilisateurs doivent disposer d’un téléphone mobile, qu’il soit un smartphone ou non, et être titulaires de comptes chez Orabank Togo et Tmoney.
L’accès au Pass Tmoney est simple et ne nécessite aucune connexion internet. Il suffit de composer la syntaxe *145*6*1*2# pour effectue l’opération.
Le principal avantage de ce service réside dans sa simplicité d’utilisation et son accessibilité sans connexion internet. Cela permet une utilisation aisée même dans les zones où l’accès à internet est limité ou inexistant. Cette caractéristique assure que le service est disponible pour une large partie de la population togolaise, renforçant ainsi l’inclusion financière.
« Notre partenariat avec un acteur de référence comme Togocom est un atout majeur pour la mise en œuvre réussie de notre politique d’inclusion financière en apportant à nos clients ainsi qu’aux consommateurs des solutions pratiques qui leur simplifient le quotidien », souligne Guy Martial Awona, le directeur général d’Orabank Togo.
En novembre 2019, Axian Group, un consortium international, est devenu actionnaire majoritaire de Togocom avec 51 % du capital, pour une valeur de 210 milliards de F CFA. Cette privatisation incluait Togotélécom et Togocel, désormais regroupés sous le holding Togocom.
Les autorités togolaises visaient une transformation significative du secteur numérique grâce à un réseau mobile et fixe dense et efficace. Moins de quatre ans après cette privatisation, les résultats commencent à se concrétiser, comme en témoignent les chiffres récents du secteur.
Il y a eu une augmentation notable des dividendes versés à l’État togolais par Togocom. En 2021, l’opérateur a versé 2,3 milliards de F CFA à l’État. En 2022, cette performance s’est accrue, avec 6,1 milliards de F CFA reversés aux caisses de l’État. La tendance s’est maintenue en 2023, avec des dividendes atteignant 7,08 milliards de F CFA. Pour cette année, les prévisions de l’État estiment des versements proches de 7 milliards de F CFA.
L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) a publié ses conclusions le 6 février 2024, révélant des hausses respectives de 5,28 % pour Moov et 1,94 % pour Togocom en termes de qualité des services mobiles. Le rapport indique que la filiale du Groupe Togocom est « beaucoup plus performante pour le service Voix sur tout le territoire ».
Concernant la 3G, dans le Grand Lomé, les deux opérateurs affichent un taux de conformité identique de 69,05 %. En dehors du Grand Lomé, Togocom dépasse Moov avec un taux de conformité de 48,08 % contre 42,95 %.
Cette tendance est confirmée par nPerf. Dans son classement de mai 2024, le baromètre des connexions Internet mobiles en Afrique de l’Ouest montre que Togocom et Moov devancent leurs homologues du Bénin (Moov), du Sénégal (Orange) et de la Côte d’Ivoire (Orange) dans le Top 5.
La campagne de réabonnement à la fibre, dénommée « Promo Challenge Réabonnement Fibre » et lancée par Togocom le 8 avril, a récompensé 4 nouveaux gagnants le vendredi 17 mai à Kara, à l’issue d’un tirage au sort.
Bello Wassioua a remporté le gros lot de la journée : un salon complet. Les autres heureux gagnants ont reçu divers prix, allant d’un combiné téléphonique à des abonnements d’un an à Netflix. Ils ont exprimé leur gratitude envers Togocom pour cette initiative.
« Nous voulons rapprocher davantage notre clientèle en leur apportant de la joie à travers cette campagne promotionnelle. Togocom est le seul opérateur à proposer ce type de promotion. Notre objectif est de rester fidèle à notre engagement d’être proche de nos clients, dans une perspective d’avancement pour tous. De nombreux super gros lots sont encore en jeu jusqu’au 7 juillet prochain », a précisé Edouard Mawuli Nouwossan, responsable marketing de la fibre chez Togocom.
Pour participer au jeu, il suffit de se réabonner à sa ligne fibre Togocom via T Money en composant 145434#, ou à travers l’application T Money.
Tout client qui se réabonne via le mobile money de Togocom sera automatiquement éligible au tirage au sort hebdomadaire. Il sera également éligible au tirage au sort mensuel pour avoir une chance de remporter les super gros lots.