L’utilisation des medias et des moyens de l’Etat par le candidat-premier ministre risque d’entacher la régularité de cette élection », a-t-il déclaré. Il rallonge sa liste des causes de la contestation de l’élection avec les difficultés dans la mise en place du scrutin et le retard dans la distribution des cartes d’électeurs. C’est l’image de la France, ajoute l’ambassadeur rappelé en 2013, qui sera mis en jeu si le dauphin du président sortant, Yayi Boni venait à ne pas être élu. « Une fois de plus, la France risque d’être critiquée et soupçonnée », a-t-il fait savoir. Sans toute fois donner une consigne de vote, Jean-Paul Monchau a invité les Béninois à accorder leur voie à « la démocratie et le respect des règles ». Il faut noter que Lionel Zinsou a été nommé Premier ministre, selon le diplomate avec l’accord de la France pour succéder à Thomas Yayi Boni.]]>