Le secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf/AfCFTA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) ont pris le 29 mars 2021 un accord visant à promouvoir le commerce en tant que stimulant de la reprise socio-économique après la crise sanitaire, rapporte « 24heurinfo ».
Selon, cette source, ce partenariat vise également à encourager le commerce en tant que moteur du développement durable, en particulier pour les femmes et les jeunes en Afrique.
L’accord a été scellé par le secrétaire général de la ZLECAf, S.E. M. Wamkele Mene, accompagné de l’Ambassadrice Fatima Mohammed Kyari, Observatrice permanente de l’Union africaine auprès des Nations unies, et de la Sous-Secrétaire générale des Nations unies et Directrice du Bureau régional du PNUD pour l’Afrique, Mme Ahunna Eziakonwa.
« La ZLECAf est un catalyseur de croissance inclusive et de développement durable, » a avancé M. Wamkele Mene, qui s’est rendu à New York pour cette occasion historique. Il a ajouté que: «Nous devons rééquilibrer le rôle de l’Afrique dans le commerce mondial. Alors que les pays Africains mettent en œuvre les plans de relance post-COVID-19, cette collaboration avec le PNUD stimulera l’élan, sur le terrain dans les États parties à la ZLECAF »
Le confrère précise que ce partenariat tirera parti de la présence du PNUD dans tous les pays africains, en étroite collaboration avec d’autres entités des Nations unies, et comprendra un soutien direct au Secrétariat de la ZLECAf grâce à une subvention financière de trois millions de dollars. Cela renforcera le plaidoyer du Secrétariat de la ZLECAf auprès des décideurs, des entreprises, de la société civile, des universités, des jeunes et d’autres parties prenantes.
« Le PNUD est heureux de soutenir la ZLECAf en tant que catalyseur et accélérateur de développement qui peut faire avancer le continent au-delà de la reprise du COVID-19, vers l’Afrique que nous voulons et les objectifs de développement durable….Si nous réussissons, nous aurons contribué à la création d’économies vertes et inclusives plus fortes et plus résilientes en Afrique », a souligné Mme Ahunna Eziakonwa.