Dans un contexte marqué par des incidents sur des câbles sous-marins à fibre optique dans la sous-région, plusieurs pays ont été confrontés à des perturbations dans la fourniture des services internet fixe et mobile.
Toutefois, grâce aux investissements stratégiques réalisés au fil des années sur ses infrastructures, Togocom se distingue par la résilience de son réseau. Le groupe assure ainsi une connectivité stable et fiable à ses clients dans tout le Togo.
L’équipe technique de Togocom, consciente de l’importance cruciale de l’accès à internet, met en œuvre toutes les ressources nécessaires pour garantir la disponibilité continue des services internet fixe et mobile pendant cette période critique. Cette réactivité témoigne de l’engagement de l’entreprise envers ses clients et sa volonté de maintenir un niveau élevé de satisfaction.
Grâce à ses investissements dans les câbles sous-marins et les infrastructures connexes, Togocom bénéficie aujourd’hui d’un réseau doté d’une haute redondance, offrant ainsi une assurance contre les pannes et les interruptions de service. Cette robustesse permet à Togocom de fournir une connectivité internet de qualité à ses abonnés, qu’ils soient clients fixes ou mobiles, et ce, sur l’ensemble du territoire national.
La situation actuelle souligne l’importance cruciale des investissements continus dans les infrastructures de télécommunication, notamment dans les régions sujettes à des incidents fréquents tels que les câbles sous-marins.
En cas de besoin, le service client de Togocom reste pleinement opérationnel pour assister les utilisateurs. Les numéros dédiés, le 888 pour le service mobile et le 119 pour le service fixe, sont accessibles à tout moment pour répondre aux questions et résoudre les éventuels problèmes rencontrés par les abonnés.
La Ministre du Commerce, Rose Kayi Mivedor, a inauguré officiellement le nouveau marché et la Maison des Jeunes et de la Femme de Tsévié au nom du Président de la République, Faure Gnassingbé.
La cérémonie s’est déroulée en présence de divers membres du gouvernement, du Préfet de Zio, du Maire de Zio1, des cadres de Zio, ainsi que de représentants politiques, administratifs, religieux, traditionnels, de partenaires techniques et financiers, de commerçants et de la population de Zio, ce 15 février 2024.
Ce marché moderne, construit en réponse aux demandes des habitants de Zio et de la région maritime, a été réalisé en trois étapes avec la collaboration de différents partenaires techniques et financiers. Son inauguration symbolise la volonté du président Faure Gnassingbé d’améliorer les infrastructures pour répondre aux besoins des commerçants.
Le nouveau marché, situé au cœur de Tsévié, remplace l’ancien devenu obsolète. La commune prévoit d’engranger des recettes mensuelles dépassant les 9 millions, comparé aux 4 millions générés par l’ancien marché.
Cette inauguration marque également l’extension des commodités offertes aux jeunes et aux femmes de Tsévié, après Lomé et Kara, avec une Maison des Jeunes et de la Femme moderne et multifonctionnelle. Ces projets s’inscrivent dans le programme présidentiel en faveur de la jeunesse et des femmes, soulignant l’engagement constant du président envers le bien-être de la population.
La Ministre du Commerce, Rose Kayi Mivedor-Sambian, a souligné que ces nouvelles infrastructures reflètent l’engagement du gouvernement à mettre en œuvre la vision présidentielle pour améliorer les conditions de vie et d’activité des jeunes, des femmes et des commerçants de la préfecture de Zio.
Le nouveau marché de Tsévié, construit sur 10 hectares avec l’appui de l’ANADEB et du Programme d’Appui à la Décentralisation (PAD/KfW) de la coopération allemande, offre 4409 places pour les boutiques et les hangars. Il vise à renforcer l’inclusion sociale et économique dans la région de Zio.
Quant à la Maison des Jeunes et de la Femme, elle s’étend sur quatre hectares, comprenant un bloc administratif, un espace réservé aux femmes, une médiathèque, un espace de co-working et un auditorium de 1000 places, entre autres.
La Ministre du Commerce a exprimé la gratitude du gouvernement envers les partenaires de développement, notamment la coopération allemande, les maîtres d’œuvre, les missions de contrôle et toutes les entreprises impliquées dans ces projets.
L’Ambassadeur de l’Allemagne au Togo, Dr. Claudius Fischbach, a souligné l’engagement de la coopération germano-togolaise dans l’amélioration des conditions de vie et de travail des Togolaises et Togolais, ainsi que dans le renforcement du commerce local.
Depuis 2021, le Togo et l’Allemagne travaillent ensemble dans le cadre d’un « partenariat pour les réformes », visant à moderniser l’économie togolaise et à renforcer ses structures étatiques.
L’inauguration du marché de Tsévié représente une avancée dans la promotion de la décentralisation, de la bonne gouvernance au niveau communal et du développement économique local.
Une trentaine de professionnels des médias togolais ont participé ce lundi 13 février 2024 à un atelier de formation sur les défis de la désinformation en Afrique de l’Ouest, organisé par le Conseil de Dialogue et de Partenariat Togo-France (CDP).
Les participants ont bénéficié de communications de spécialistes en cybercriminalité, cybersécurité et vérification de l’information, visant à renforcer leur capacité à éviter la désinformation et à détecter les contenus falsifiés. Les thèmes abordés comprenaient les enjeux et défis de la désinformation en Afrique de l’Ouest, les techniques de vérification de base en journalisme et la lutte contre la désinformation dans les médias.
Max-Savi Carmel d’Afrika Stratégies a souligné l’aspect juridique complexe de la désinformation, précisant que la formation fournissait des outils essentiels pour vérifier et confronter les informations, afin de sortir de la désinformation.
Cette initiative, soutenue par des organisations de presse telles que l’Union des journalistes indépendants du Togo (UJIT), le syndicat des journalistes togolais (Synjit), l’Association des femmes professionnelles des médias du Togo (AFPMT) et TogoCheck, a également reçu le soutien financier de l’ambassade de France au Togo.
Le président du CDP, Frédérick Mawupenkor Tsatsu, a souligné l’importance de renforcer la connaissance des journalistes sur la désinformation, considérée comme un défi majeur pour la presse actuelle, confrontée à un flot d’informations souvent fausses.
Fabrice Petchessi, président de l’Observatoire togolais des médias, a salué l’atelier pour doter les journalistes d’outils nécessaires afin de distinguer le vrai du faux dans le contexte numérique actuel.
L’initiative du CDP vise à renforcer les capacités des journalistes pour qu’ils puissent se démarquer des activistes des réseaux sociaux.
Elisabethe Apampa, membre de l’organisation de l’atelier, souligne que la désinformation est une urgence à l’ère de la viralité sur les médias sociaux. Le CDP souhaite fournir aux journalistes des outils pour améliorer leur travail tout en respectant la déontologie.
En tant qu’organe facilitant le dialogue entre la société civile et l’ambassade de France au Togo, le CDP souhaite contribuer à améliorer les relations entre le Togo et la France en proposant des solutions efficaces.
La CENI a réceptionné, dans le cadre des prochaines élections législatives et régionales prévues sur toute l’étendue du territoire togolais, ce vendredi 09 février 2024, des cartons contenant chacun des centaines de flacons d’encre indélébile.
Ces lots d’encre indélébile sont fournis par la société NETCOM SA, qui avait auparavant gagné l’appel d’offre sur la base de la qualité du spécimen d’encre qui avait été proposé.
A la réception des lots, des chercheurs du Laboratoire de chimie de l’Université de Lomé ont fait un prélèvement des flacons choisis au hasard dans plusieurs cartons pour examen.
Il faut relever que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a annoncé l’ouverture des candidatures pour les élections législatives et régionales, qui auront lieu le 13 avril prochain. Les dossiers seront acceptés jusqu’au 28 février 2024.
Le ministre des Sports et des loisirs, Dr Lidi Bessi-Kama a momentanément suspendu les championnats de football D1 et D2.
Cette décision fait suite à la récente sortie de la Ligue de Football des Savanes et des représentants de clubs de ladite région, dénonçant des injustices dans le déroulement du championnat.
“Tenant compte du contexte sécuritaire particulier de la région des savanes et pour préserver le climat de paix et de cohésion sociale chèrement acquis par le gouvernement, je vous invite à surseoir temporairement la poursuite du déroulement des différents championnats de football masculin et féminin (DI et D2) afin d’examiner de manière approfondie les questions soulevées en vue d’apporter des solutions adéquates”, indique la ministre dans un courrier adressé à la Fédération Togolaise de football (FTF) , vendredi 9 février 2024.
Il est à relever que la FTF a confirmé la tenue de la 13ème journée prévue ce weekend, après la décision de la ministre des sports.
Ainsi la FTF informe le public, les acteurs et toutes les parties prenantes que les matches de la 13e journée de la D1 LONATO au programme ce weekend vont se dérouler sans aucun changement de calendrier
« Les matches de la 13e journée du championnat de D2 et les matches de la 14e journée du championnat D1 LONATO, saison 2023-2024, sont reportés à une date ultérieure », a fait savoir la FTF.
La commune d’Ogou1 marque un tournant décisif dans sa quête d’un avenir plus durable grâce au lancement du projet intitulé « Amélioration de la Gestion Durable des Ressources en Eau Potable dans la Commune Ogou1 ».
Issu de l’appel à projets de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) visant à soutenir la planification et la mise en œuvre des objectifs de développement durable dans les collectivités locales d’Afrique de l’Ouest en 2023, ce projet promet de métamorphoser radicalement l’accès à l’eau potable dans la région.
La cérémonie inaugurale, qui s’est déroulée le jeudi 08 février 2024 à la mairie d’Ogou1, a réuni une diversité de participants, parmi lesquels des conseillers municipaux, des organisations de la société civile d’Ogou1, des experts en projets de l’OIF, le chef de la commission de l’OIF au Togo, et le représentant de Mme le maire, l’adjoint au maire de la commune Ogou1. Le coup d’envoi officiel de ce projet innovant a été donné par le secrétaire général de la préfecture de l’Ogou.
Le programme vise à transformer de manière durable l’accès à l’eau potable dans la commune Ogou1. Des mesures telles que l’amélioration de la gestion des bornes-fontaines, l’intégration de l’assainissement, la réhabilitation des infrastructures et l’extension du réseau sont envisagées pour garantir une qualité et une accessibilité accrues de l’eau pour tous. De plus, la construction d’une mini-adduction d’eau potable à pompe solaire dans la zone rurale renforce l’engagement envers les communautés les plus éloignées.
Lors de la cérémonie, l’adjoint au maire, le spécialiste des projets de l’OIF, le chef de la commission de l’OIF au Togo et le secrétaire général de la préfecture d’Ogou ont exprimé leur engagement envers le succès de cette initiative cruciale.
Le secrétaire général de la préfecture d’Ogou, Kpapou Kondo, a eu l’honneur d’inaugurer officiellement le projet, marquant le début d’une transformation significative pour la commune. Des discussions animées ont suivi la présentation des objectifs du projet, démontrant l’implication active des parties prenantes et l’enthousiasme palpable de la population locale.
Ce projet représente une avancée majeure vers un avenir où l’eau potable sera accessible à tous. Il incarne la collaboration entre les collectivités locales et les organisations internationales, démontrant la puissance de l’unité pour relever les défis cruciaux de notre époque.
Pour l’adjoint au maire de la commune Ogou1, Yao TOYO, « L’eau est un élément essentiel pour la vie humaine et le développement de nos communautés. Malheureusement, de nombreuses communautés continuent de souffrir du manque d’accès à une source d’eau potable fiable et sécurisée. Cette réalité a des répercussions dévastatrices sur la santé, l’éducation, l’économie et la qualité de vie de nos concitoyens. La rareté de l’eau potable et les difficultés liées à son accès sont exacerbées par des facteurs tels que la croissance démographique, les changements climatiques, la dégradation de l’environnement et les contraintes économiques. Ces défis nous obligent à agir de manière urgente et décisive pour assurer un approvisionnement en eau adéquat à l’ensemble de la population ».
Il a souligné que la cérémonie de lancement ne constitue qu’une étape dans le processus qui devrait aboutir à améliorer l’accès à l’eau potable dans la commune à travers la réhabilitation de plus de 50 bornes-fontaines, l’extension du réseau d’eau sur 1,2 km avec des possibilités de branchements privés, et la construction d’une mini-adduction d’eau potable à pompe solaire dans le village de Ohoudje. Des sensibilisations et des formations sur la gestion durable de l’eau complètent ce projet d’une importance capitale pour le bien-être et le développement de la commune.
Il a ajouté, « L’amélioration de la gestion durable des ressources en eau potable est un objectif essentiel, qui nécessite l’engagement et la coopération de tous les acteurs concernés. Nous sommes conscients des défis auxquels nous sommes confrontés, mais nous sommes également convaincus que, grâce à notre détermination collective, nous pourrons surmonter ces défis et bâtir un avenir meilleur pour nos générations actuelles et futures. Ce projet représente une opportunité majeure de renforcer notre infrastructure hydrique, de promouvoir la préservation de nos ressources en eau. Il s’inscrit dans une démarche de développement durable et de protection de l’environnement, en alignement avec nos valeurs communautaires ».
Il a exprimé la gratitude de la communauté d’Ogou1 envers la Représentation pour l’Afrique de l’Ouest de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD) pour leur accompagnement financier dans la mise en œuvre de ce projet, inscrit dans le cadre de leur initiative « Vivacités », visant à soutenir les objectifs de développement durable (ODD) dans les collectivités locales d’Afrique de l’Ouest.
Ensemble, Ogou1 écrit un nouveau chapitre, démontrant un engagement fort envers le développement durable et la création d’un environnement où chaque citoyen peut jouir du droit fondamental à l’eau potable.
Le gouvernement togolais a adopté ce jeudi lors du conseil des ministres le décret portant création de la « Force Sécurité Élections Législatives et Régionales 2024 » (FOSELR 2024).
Cette force a pour objectif de garantir la sécurité et préserver un climat de paix et de sérénité sur l’ensemble du territoire avant, pendant et après les élections législatives et régionales.
Selon le communiqué du conseil des ministres, “FOSELR 2024 est placée sous la supervision de la commission électorale nationale indépendante (CENI) et le commandement opérationnel du ministère chargé de la sécurité”.
Cette force sera composée des forces de défense et de sécurité à savoir la police nationale, la gendarmerie nationale et la réserve opérationnelle.
L’organisation décentralisée de cette force tient compte du plan de maillage du territoire par les forces de sécurité, et pourra être ajusté en fonction des circonstances.
Le Révérend Pasteur Ock Soo Park, fondateur de International Youth Fellowship (IYF), une ONG dédiée à la promotion de la jeunesse a été reçu ce vendredi 9 février 2024 par le chef de l’État, Faure Gnassingbé.
Dans leur entretien, le Révérend Pasteur Ock Soo Park a fait part au chef de l’Etat des différents programmes de l’organisation dédiés à la jeunesse togolaise notamment en matière d’éducation et de formation professionnelle.
Il a aussi évoqué, l’appui de IYF à la promotion de la citoyenneté, du patriotisme et du changement de mentalité, des valeurs en phase avec la vision du président de la République pour la jeunesse togolaise.
« Nous avons eu des discussions enrichissantes avec le Président de la République sur les projets de construction des centres de formation, d’éducation pour le leadership, le changement de mentalité et le patriotisme au profit des jeunes togolais et sur les possibilités de voyages d’études pour les enseignants togolais en Corée du Sud. Nous sommes prêts à travailler avec le gouvernement togolais pour former les leaders de demain » a précisé le Révérend Pasteur Ock Soo Park.
Implantée au Togo en 2005, l’IYF ambitionne de construire un centre national dans le pays pour contribuer à la formation et à l’éclosion de la jeunesse togolaise et à la formation des enseignants.
International Youth Fellowship (IYF) est une ONG sud-coréenne présente dans plusieurs pays. Elle est engagée depuis 2001 dans la formation de la jeunesse en développement personnel, leadership et entrepreneuriat ainsi que dans la construction du multiculturalisme, la promotion de la diversité culturelle, des valeurs républicaines, du leadership et du développement humain.
Le programme de développement des écosystèmes nationaux de volontariat en Afrique (DENVA), a été lancé ce mardi 6 février 2024 par Mme Myriam DOSSOU-d’ALMEIDA, Ministre du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l’emploi des jeunes.
C’est un programme qui se fixe des objectifs ambitieux et vise à dynamiser les écosystèmes de volontariat à travers plusieurs axes d’intervention essentiels dans les 12 pays engagés dans le programme.
Au Togo, le volontariat est en action depuis 2011 et son succès est reconnu par les pairs et fait des émules.
“Le Gouvernement Togolais travaille avec une multitude d’acteurs de développement dans le but de renforcer le pouvoir d’agir de nos jeunes et de reconnaître pleinement leur rôle crucial dans la réalisation des objectifs de développement de nos nations. Grâce à la vision du chef de l’État Faure Essozimna Gnassingbé, le programme de volontariat Togolais mobilise plus de 65 000 jeunes de toutes catégories dans toutes les régions et constitue un levier de renforcement pour une insertion professionnelle réussie” a relevé Mme la ministre.
Pour elle c’est une aubaine de professionnaliser les métiers qui portent et supportent l’engagement citoyen, grâce à l’échange de bonnes pratiques avec les voisins. Ce programme favorisera la coopération entre les différents dispositifs nationaux de volontariat, tant au niveau intra-africain qu’international, qu’il s’agisse du service civique ou du volontariat de solidarité internationale.
Une collaboration transfrontalière et multisectorielle, preuve tangible de la volonté commune à transcender les frontières et les différences pour travailler ensemble au service de l’intérêt général pour l’intégration africaine, a reconnu la ministre Togolaise.
Le Festival La Marmite (FESMA) est une rencontre culinaire et gastronomique internationale destinée à promouvoir les saveurs et traditions africaines, à travers la valorisation du consommer local, des produits locaux et l’art culinaire. En vue d’atteindre ses objectifs, les responsables du FESMA ont signé un accord cadre de partenariat ce jeudi 7 février 2024 à Lomé avec la Coalition nationale pour l’emploi des jeunes (CNEJ).
L’objectif de cette convention entre le FESMA et la Coalition nationale pour l’emploi des jeunes (CNEJ) vise à partager ensemble la conviction que les jeunes entrepreneurs du Togo constituent une force vive pour stimuler la croissance économique et résoudre les problèmes de développement dans le pays.
Ce qui va stimuler auprès des jeunes de nouvelles idées d’innovation pour leur insertion socio-professionnelle à travers l’entrepreneuriat. Cela permettra aussi d’établir un partenariat permanent pour accompagner et orienter les jeunes vers la production, la transformation et la valorisation des produits locaux.
Le partenariat paraphé entre le Commissaire général du FESMA, Jean-Paul AGBOH et le Secrétaire permanent de la CNEJ, Eric TAMANDJA, a une durée de 3 ans renouvelable. Ce qui permettra pour les deux structures de mobiliser les acteurs, conformément à la loi N°2020-007 du 26 juin 2022 relative à l’alimentation scolaire, lors de la Journée de l’alimentation.
« Ces jeunes ont besoin de nouvelles idées innovantes pour leur insertion socio-professionnelle à travers l’entrepreneuriat. L’objectif général de cette convention est donc d’établir un partenariat permanent pour accompagner et orienter les jeunes vers la production, la transformation, et la valorisation des produits locaux », a fait savoir le Commissaire général du FESMA.
C’est aussi une aubaine pour mobiliser des acteurs notamment les médecins, les diététiciens, les nutritionnistes, les enseignants, les chefs cuisiniers, les parents et les producteurs autour d’une table pour échanger sur les bonnes pratiques en matière d’alimentation scolaire afin de préserver la santé des enfants, de mobiliser les partenaires, tels que FAO, UNICEF, CERES engagés dans l’alimentation scolaire, réfléchir sur la mise en place des jardins scolaires, orienter les jeunes vers le métier de l’entrepreneuriat vert dans les écoles.
Il faut noter aussi que dans cette dynamique de synergie des acteurs autour du programme d’alimentation scolaire, la coalition nationale pour l’emploi des jeunes (CNEJ) appuie l’organisation de la Journée de l’alimentation en marge du FESMA.
« Ce mini-event en marge du FESMA servira de cadre d’échanges et de partage des bonnes pratiques en matière d’alimentation. Cette journée réunira tous les acteurs impliqués dans l’alimentation pour réfléchir à la promotion d’une alimentation saine auprès des jeunes et des écoliers, sensibilisant tous les acteurs intervenant autour des cantines scolaires sur les bonnes pratiques », a expliqué M. AGBOH-AHOUELETE.
La Coalition nationale pour l’emploi des jeunes (CNEJ) est une plateforme de concertation ayant pour mission de positionner la jeunesse, gisement de compétences et de capacités d’innovation, comme un vecteur majeur d’une croissance économique accélérée et inclusive. Elle a également pour mission de mettre en synergie les efforts des partenaires des secteurs public, privé, organisation de la société civile/ONG, les fondations et les partenaires techniques et financiers afin de stimuler l’emploi des jeunes.