L’ancien célèbre écrivain nigérian, Reno Omokri, a déploré le fait que les pauvres nourrissent aujourd’hui leurs pasteurs, contrairement au temps de Jésus qui nourrissait les pauvres.
A travers ses comptes de médias sociaux, Reno Omokri a également évoqué les personnes appréciant les divertissements de l’Église au détriment de l’éclairage.
« Malheureusement, beaucoup de gens se divertissent dans les églises mais ils pensent être éclairés. Cela me brise le cœur de le dire, mais il semble que les vies transformées soient celles des prédicateurs. Jésus a nourri les pauvres, mais beaucoup de pauvres d’aujourd’hui nourrissent leurs prédicateurs. Comment les pasteurs peuvent-ils vivre dans le luxe et l’opulence alors que les fidèles vivent dans une pauvreté atroce? Les bergers existent pour prendre soin des moutons et non pas pour les soigner. Jésus a donné une instruction à Pierre, son successeur: «nourris mes brebis». Il n’a pas dit: “soit nourri par mes brebis”! Nourris-les physiquement et spirituellement. »
L’ancien célèbre écrivain nigérian, Reno Omokri, a déploré le fait que les pauvres nourrissent aujourd’hui leurs pasteurs, contrairement au temps de Jésus qui nourrissait les pauvres.
A travers ses comptes de médias sociaux, Reno Omokri a également évoqué les personnes appréciant les divertissements de l’Église au détriment de l’éclairage.
« Malheureusement, beaucoup de gens se divertissent dans les églises mais ils pensent être éclairés. Cela me brise le cœur de le dire, mais il semble que les vies transformées soient celles des prédicateurs. Jésus a nourri les pauvres, mais beaucoup de pauvres d’aujourd’hui nourrissent leurs prédicateurs. Comment les pasteurs peuvent-ils vivre dans le luxe et l’opulence alors que les fidèles vivent dans une pauvreté atroce? Les bergers existent pour prendre soin des moutons et non pas pour les soigner. Jésus a donné une instruction à Pierre, son successeur: «nourris mes brebis». Il n’a pas dit: “soit nourri par mes brebis”! Nourris-les physiquement et spirituellement. »
source: Afrikmag