Un atelier de formation s’est tenu vendredi 22 décembre à la clinique BIASA à Lomé. Organisé à l’endroit des médecins, Sages-Femmes infirmières et accoucheuses, cette initiative des responsables de la dite clinique a pour objectif d’informer et d’échanger des connaissances en matières obstétricales et de l’épisiotomie .
Il était question de réviser la conception des médecins ou accoucheuses sur cette pratique et de réapprendre , une sorte de formation continue. C’était une opportunité pour les participants de partager les expériences entre eux sur cette pratique médicale ‹‹ ce n’est pas toujours de la même façon qu’on le fait, ce n’est pas toujours de la même manière qu’on le conçoit. C’est pour toutes ces raisons qu’on s’est dit asseyons nous, regardons ce que chacun fait dans son coin et ensemble on va trouver plutôt une façon uniforme de faire les choses ›› a déclaré le Dr KOLANI, gynécologue, obstétricien.
Sous la modération du Dr FRADJOE K. Moise, quand thématiques ont été abordés par les spécialistes de la discipline. Il s’agit entre autres de l’historique et rappel anatomique ; matériel de réparation du périnée; techniques de réparation du périnée et des controverses sur l’épisiotomie.
Ces professionnels ont échangé sur la nécessité de communiquer de manière transparente avec les patients afin de leurs comprendre les implications de cette intervention. Pour le Dr KOLANI il est important que les praticiens comprennent que la perception des patients sur les procédures médicales ont évolué. Pour lui, la communication doit jouer un rôle important dans la mise en œuvre de cette technique. ‹‹La pratique médicale évolue, les gens lisent, comprennent avant de venir nous consulter. Il est essentiel que nous expliquions de manière honnête ce que nous allons faire, que nous aidions les gens à comprendre et à accepter nos interventions. Cela est particulièrement important pour éviter des complications futures », a-t-il précisé
L’épisiotomie Réparation des déchirures obstétricales et l’épisiotomie : la clinique BIASA outillé les professionnels de santé.
Un atelier de formation s’est tenu vendredi 22 décembre à la clinique BIASA à Lomé. Organisé à l’endroit des médecins, Sages-Femmes infirmières et accoucheuses, cette initiative des responsables de la dite clinique a pour objectif d’informer et d’échanger des connaissances en matières obstétricales et de l’épisiotomie .
Il était question de réviser la conception des médecins ou accoucheuses sur cette pratique, de réapprendre , une sorte de formation continue. C’était une opportunité pour l participants do partager les expériences entre eux sur cette pratique médicale ‹‹ ce n’est pas toujours de la même façon qu’on le fait, ce n’est pas toujours de la même manière qu’on le conçoit. C’est pour toutes ces raisons qu’on s’est dit asseyons nous, regardons ce que chacun fait de son coin et ensemble on va trouver plutôt une façon uniforme de faire les choses ›› a déclaré le Dr KOLANI, gynécologue, obstétricien.
Sous la modération du Dr FRADJOE K. Moise, quatre thématiques ont été abordées par les spécialistes de la discipline. Il s’agit entre autres de l’historique et rappel anatomique ; matériel de réparation du périnée; techniques de réparation du périnée et des controverses sur l’épisiotomie.
Ces professionnels ont échangé sur la nécessité de communiquer de manière transparente avec les patients afin de leurs faire comprendre les implications de cette intervention. Pour le Dr KOLANI il est important que les praticiens comprennent que la perception des patients sur les procédures médicales évolue. Pour lui, la communication doit jouer un rôle important dans la mise en œuvre de cette pratique médicale. ‹‹La pratique médicale évolue, les gens lisent, comprennent avant de venir nous consulter. Il est essentiel que nous expliquions de manière honnête ce que nous allons faire, que nous aidions les gens à comprendre et à accepter nos interventions. Cela est particulièrement important pour éviter des complications futures », a-t-il précisé
L’épisiotomie, une intervention qui consiste à inciser le périnée (le groupe de muscles et de ligaments entre l’anus et le vagin). Cette pratique qui est souvent considérée comme une intervention visant à prévenir des déchirures plus graves, est aujourd’hui soumise à un examen critique. Des études récentes suggèrent qu’une approche restrictive pourrait offrir des avantages en termes de taux de périnées intacts sans augmenter le risque de déchirures sévères.