L’ONG Action collective pour le développement intégral de l’enfant et de la jeune fille (ACDIEF) a lancé officiellement la deuxième édition du concours national des droits de l’homme ce vendredi 19 juin à Lomé.
L’objectif est pour l’ONG ACDIEF, de permettre aux jeunes de se familiariser avec les fondamentaux des droits humains pour accroître leur engagement en la matière, appuyer leur participation communautaire dans un contexte d’engagement civique. Ceci afin d’avoir des sociétés respectueuses des Droits Humains et former des jeunes ambassadeurs de paix qui en maîtrisent les fondamentaux.
« Le concours national des droits de l’homme qui est à sa deuxième édition a été initié par l’ACDIEF pour contribuer à l’appropriation des droits les plus fondamentaux de l’homme contenus dans la déclaration universelle des droits de l’homme par les plus jeunes, les amener à la prise d’un engagement plus croissant par rapport aux questions des droits humains au Togo et appuyer leur participation à la vie communautaire dans un contexte d’engagement civique afin d’avoir des sociétés respectueuses des droits humains » ont précisé les premières responsables de cette ONG, qui font des droits de l’homme leur cheval de bataille.
Les participants vont s’inscrire à travers une fiche qui sera mise en ligne dans trois domaines dont le dessin, les sketches et le récit des articles de la DUDH. Ils vont produire des dessins et des vidéos traduisant les articles de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme La première étape concernera les régionales et les finalistes se retrouveront à Lomé pour l’étape finale le 10 décembre. Six (6)prix sont disponibles dont des bourses d’études et des gadgets de la DUDH.
Il faut dire que ce concours, financé par UNESCO bureau d’Abuja, a pour importance « d’inculquer les principes qui constituent la bonne manière de vivre de tout un chacun afin d’arriver à une société où les droits de l’homme sont respectés : moins de violation des droits de l’homme et pour le faire il faut commencer dès la base à mettre la graine sous la terre. Donc, la terre que nous voulons cultiver se sont les jeunes, la base et la graine ce sont les articles, les principes des droits de l’hommes et surtout le civisme et la citoyenneté qui découlent des droits de l’homme » a relevé Koudjovi Gadje, le directeur exécutif de l’ONG ACDIEF.