En cette année 2022, le Gabon, un pays totalement francophone, va adhérer au Commonwealth.
En effet, le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, pense que se serait une « nécessité d’appartenir à un autre espace multiculturel dans un monde globalisé ».
Il affirme que pour autant, le Gabon restera un pays membre de la francophonie.
Un peu plus au loin, un pays francophone de l’Afrique de l’ouest, œuvre également à la réalisation d’un projet similaire, il s’agît du Togo.
Le gouvernement togolais, pendant l’année 2021, travaillait déjà à élargir ses partenariats internationaux. C’est encore cet objectif qu’il poursuit cette nouvelle année, en souhaitant adhérer au Commonwealth.
Plusieurs missions d’évaluation se sont rendues à Lomé ces dernières années, et les discussions sont toujours en cours d’actualité.
Le Commonwealth est une organisation intergouvernementale, dont les pays membres n’ont aucune obligation les uns envers les autres. Mais ces pays membres adhèrent tous à la charte de l’organisation, qui prône une série de « valeurs fondatrices » telles que la démocratie, la liberté d’expression, la séparation des pouvoirs, les droits humains, la non-discrimination…
La charte reconnaît qu’il serait idéal d’aider et d’assister les « petits Etats » de même que les « Etats vulnérables », dans leur développement, et de leur porter secours en cas de danger.
L’organisation regroupe notamment l’Inde, le Bangladesh, et le Pakistan, qui représentent 80% de sa population.
Rappelons que la reine Elizabeth || est la cheffe du Commonwealth.