Ce vendredi 13 novembre, les premières conclusions de l’enquête sur l’assassinat du Colonel Madjoulba ont été révélées par nos confrères de RFI mais rien ne permettent d’avoir une idée de l’arme qui a servi dans ce crime.
Les choses se compliquent davantage dans l’enquête ouverte dans le cadre de cet assassinat estiment du coup la rédaction de « Togo breaking news » pour qui les premières conclusions de l’enquête ne permettent pas d’avancer.
Une sorte de surplace alors qu’on apprend que l’arme qui a servi à tuer ce valeureux militaire est issue du camp qu’il dirigeait. Par ailleurs, le juge en charge du dossier vient de commettre une commission rogatoire chargée d’auditionner plusieurs militaires, écrit la même source.
Le confrère précise que selon les expertises balistiques réalisées par la France et le Ghana, l’ex-Commandant du 1er Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) a été tué avec sa propre arme.
Selon Rfi, il s’agit d’un revolver de marque Beretta. Une conclusion qui a poussé le juge en charge de l’affaire a lancé une commission rogatoire dans le but de faire auditionner plusieurs militaires du camp que dirigeait le Col Madjoulba.
Les analyses réalisées par la France devaient comparer la balle retrouvée sur le corps du commandant du BIR avec 152 douilles provenant de 76 armes différentes saisies par les autorités togolaises.
Le confrère relève que la commission rogatoire émise par le juge Awi Adjoli procède actuellement aux auditions. Et pour l’heure, aucun placement en détention.
Le Colonel Madjoulba a été assassiné dans son bureau dans la nuit du 3 au 4 mai derniers.