Eiffage-Togo au coeur du traitement des déchets dans la ville de Lomé
Ce 24 novembre dernier, une délégation de représentants de l’Agence Française de Développement (AFD), de l’Union Européenne (UE), de la Banque Européenne d’investissement et de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), a visité le centre de traitement des déchets d’Aképé à Lomé. Le site a été construit est est opéré par de la société française Eiffage et ses partenaires.
Les responsables de ses institutions internationales qui pour la plupart sont à la base du financement du centre d’enfouissement technique (CET) d’Aképé ont qualifié ce site d'”exemplaire”. Construit et exploité depuis 2018 par les équipes de la société française au Togo. Elle travaille en partenariat avec le leader français de la gestion des déchets CWA et de l’entreprise togolaise GER.
Le CET d’Aképé traite les déchets ménagers de toute la ville de Lomé.
Selon Eiffage, il est l’un des premiers de cette envergure construit en Afrique. Ce centre de traitement de déchets a été conçu pour une durée d’exploitation de 25 ans et gère les déchets générés par une agglomération de plus de 1,5 million d’habitants.
“Plus d’un million de tonnes y a déjà été enfouie selon les normes environnementales internationales incluant le traitement des lixiviats par voie biologique et la combustion du méthane produit.
Il fera l’objet, courant 2022, de travaux d’extension permettant de continuer son exploitation et d’ouvrir le site à l’ensemble de l’Agglomération du Grand Lomé”, a expliqué la la direction générale d’EIFFAGE.
Le CET d’Aképé est la parfaite illustration de la politique de transfert de compétences portée par Eiffage grâce à l’aide de ses partenaires au profit l’émergence d’une filière locale.
Par ailleurs, il faut noter que les équipes d’Eiffage interviennent depuis la conception jusqu’à la construction, mais aussi en entretien et en maintenance, sur des nombreux ouvrages. En génie civil, la société regorge de 8 spécialités : la démolition – dépollution, les fondations, le génie civil nucléaire et industriel, les ouvrages d’art, les réparations d’ouvrages, les souterrains, les terrassements et les travaux maritimes et fluviaux.
