Dans le cadre du projet ACTE-AFRIQUE, il s’est ouvert du 07 au 08 novembre 2022 dans la préfecture d’Agoe-nyivé à Lomé, un atelier de formation du conseil des jeunes sur la construction d’un plan de plaidoyer.
Organisé par l’ONG Action Éducation, l’initiative vise à faire des enfants et des jeunes des acteurs de changement en renforçant leur pouvoir d’agir en matière de citoyenneté, de cohésion sociale et de développement durable.
Pendant deux jours, les jeunes des communes d’Agoe-nyivé 4 et 6, coordination communale des jeunes, ont vu leurs capacités renforcées sur la construction du plan de plaidoyer.
« Cette formation organisée par l’ ONG Action Éducation me permet d’avoir des notions sur comment élaborer un plan de plaidoyer que je vais partager avec les membres de mon association qui est l’ADFE228, et le problème retenu pour le plaidoyer « les enfants sans actes de naissance » cadre bien avec notre champ d’action » a indiqué Gomado Akouto Yayra, membre de l’association ADFE228.
Une occasion pour Paul Koffi kpatcha, coordonnateur du projet ACTE-AFRIQUE, de relever que « La formation qui s’est déroulée avec les jeunes des associations des communes d’Agoe-nyivé 4 et 6, porte sur la construction d’un plan de plaidoyer. Cette formation est organisée parce que le projet vise à renforcer le pouvoir d’agir des enfants et des jeunes afin de faire d’eux des acteurs de changement dans les domaines de la citoyenneté, de cohésion sociale et de développement durable. Donc c’est dans le cadre de renforcement du pouvoir d’agir des jeunes pour pouvoir être des acteurs qui vont porter des actions de plaidoyer au niveau des autorités compétentes. Pendant deux jours, ces jeunes ont été outiller et leurs capacités ont été renforcés pour leur permettre de pouvoir identifier les sujets de plaidoyer qui les concernent ».
Il poursuit en précisant que « En fait, nous travaillons dans le cadre de ce projet avec les deux communes, parce qu’une analyse a été faite sur plusieurs communes au Togo. Mais il a été relevé que Agoè-nyivé 4 et 6, sont des communes dans lesquelles ce besoins se fait plus ressentir.
Notons que cette formation qui a durée deux jours a été assurée par l’ONG RADI