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Des jeunes de la CEDEAO renforcés pour l’application des Droits de l’Homme, la paix et la sécurité

Les jeunes de la CEDEAO renforcés pour l’application des Droits de l’Homme, la paix et la sécurité. Apres le lancement du premier forum sous régional de la jeunesse sur les droits de l’homme, la paix et la sécurité en Afrique de l’ouest ouvert depuis ce 5 septembre à Lomé, les activités prennent fin ce vendredi 6 septembre. Organisé par l’Action Collective pour le Développement Intégral de l’Enfance et de la Jeune Fille (ACDIEF) en collaboration avec le CDFDH et WANEP sous l’égide du ministère des droits de l’homme et des Institutions de la république sur le thème : « le rôle de la jeunesse dans la promotion des Droits de l’Homme, la paix et la sécurité en Afrique de l’Ouest.

Les activités pour ces deux jours ont essentiellement porté autour de la contribution de la jeunesse, son apport et son implication pour la paix, les droits de l’homme et la sécurité dans la sous-région. Plusieurs panels ont permis aux différents panélistes de revenir les rôles de la jeunesse dans la maintien de paix et la sécurité dans la sous région. André Kangni Affanou, sur le thème « le rôle de la jeunesse dans la promotion et protection des droits de l’homme » a été une personne ressource. Il a apporté sa contribution pour la résolution des actions des jeunes dans la sous région africaine.

Pour les panélistes, les jeunes doivent s’engager et décider de l’avenir de l’Afrique forte ainsi il a invité les jeunes à travers des plaidoiries et a exhorté les jeunes à plus d’engagement et de citoyenneté. 

Sidi Mahamane Agadda du Mali, pour lui le monde africain est partagé en gâteau et il a nourrit les vœux que les choses changent au niveau des dirigeants. Et pour en arriver il pense que les jeunes doivent s’engager et prendre des mécanismes responsables qui permettent un avenir radieux de l’Afrique.

Les ateliers en formation d'article
Les ateliers en formation d’article

« Notre engagement montre qu’on est fort, qu’on peut changer l’Afrique. La jeunesse a une mission celle de changer les choses pour que après la sortie de ce forum des solutions efficientes soient trouvé afin que les gouvernants africains sachent que l’avenir de l’Afrique c’est la jeunesse »  

Pour mademoiselle Miguèle Houeto du Benin a dans son intervention souhaitée que les échanges se tournent vers l’éveille à la conscience des jeunes sur le droit de l’homme ainsi elle a invité la jeunesse à être responsable et à être celui qui prône la paix à travers des actions concrètes.

Les panelistes dans leur communication ont invité les jeunes à l’éducation, à la citoyenneté et à cultiver le partage des idées afin que les actions portent très loin.

Le panel portant sur le thème « la participation de la jeunesse en Afrique de l’ouest aux processus de paix et de sécurité » a remarqué que la jeunesse africaine n’est pas au parfum des questions liées à l’éducation politique. Les jeunes ne sont pas invités à la participation de la vie politique des nations. Et ils pensent que cela est dû à l’absence de la confiance des jeunes envers les leaders politiques. Ils ont invité les jeunes à prendre des engagements dans le domaine de la prise de décisions et invité les Etats à instaurer un parlement des jeunes ce qui va permettre d’impliquer énormément les jeunes à la prise de parole et leur contribution au développement de nos pays.

Il est dit que pour la sauvegarde de la paix en Afrique les jeunes doivent se mettre en réseau, communiqué, faire des actions qui vont permettre de prendre conscience. Ils ont invité les jeunes à se communiquer et à s’entraider et à cultiver les valeurs de leadership et d’entrepreneuriat afin de ne pas s’ériger vers la violence et la xénophobie.

Le thème sur « le rôle de la jeune fille dans le processus de prévention des violences et de consolidation de la paix » a permis de dire que les femmes doivent s’organiser et être disponible. Ils ont regretté le fait que les femmes ne participent pas et n’interviennent pas dans la prise de décision surtout de prendre le devant.  Les femmes s’écartent quand il s’agit de s’engager pour la prise de décision.

La femme ne doit plus être présenté seulement que sur le plan physique sur sa beauté mais plutôt sur son importance intellectuelle, de décrire son coté d’excellence et insister sur le choix du conjoint. Ils ont invité les femmes à reconnaître leurs valeurs et les prendre au sérieux, à s’engager davantage pour corriger le problème.

L’opportunité a été donné à Yannick Aboka à travers une communication a éclairé les jeunes sur le rôle de la jeunesse dans la mise en œuvre du PND.

Des jeunes ont été initiés en atelier à la rédaction d’articles, de montage vidéo et de prise de photo par André Gangni Affanou, Eugène Attigan et Joël Anani.

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