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La Nuit des Mercis pour remercier les partenaires de Graines du Togo

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Le Comité d’organisation du Concours « Graines du Togo » édition 2018, une initiative du sélectionneur national Claude Leroy organise le vendredi 09 novembre 2018 au Grand Rex à Lomé, une soirée dénommée « Nuit des Mercis ».

« Cette soirée est destinée à remercier les sponsors et autres partenaires qui ont apporté leurs appuis pour la réalisation de ce projet, et à présenter le bilan financier de sa gestion. » indique un communiqué du comité d’organisation.

Sont invités à cette soirée, des membres du Gouvernement, des diplomates, des acteurs du football national, des responsables de média, des hommes de culture, des personnalités de la société civile…

Au menu de cette soirée dînatoire, des prestations d’artistes et jongleurs, des remises de récompenses et une tombola avec comme gain, deux (02) billets d’avion de la compagnie Air France (Lomé-Paris-Lomé).

Notons que l’’édition 2018 du concours de la jeune footballeuse et du jeune footballeur « Graines du Togo 2018 » a eu pour parrain le Président de la République, Faure Essozimna GNASSINGBE et a été soutenu par des sociétés de la place notamment la Brasserie du Bénin et Togo Cellulaire.

RDC: RSF dénonce un « le système de répression planifié » contre les journalistes

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À la veille de l’élection présidentielle, Journalistes en danger (JED), l’organisation partenaire de Reporters sans frontières (RSF) en République démocratique du Congo (RDC) publie un rapport alarmant pour l’année 2018 sur l’état de la liberté de la presse intitulé « Journalistes et médias sous pression : les élections de tous les dangers ».

Entre le 3 novembre 2017 et le 2 novembre 2018, JED a recensé 121 cas d’attaques contre les médias et les journalistes, un chiffre identique à celui de 2017. Soixante-dix-sept pour cent de ces atteintes à la liberté de la presse ont été commises par les autorités politiques, administratives ou sécuritaires congolaises, engageant directement la responsabilité de l’Etat, pourtant censé garantir et assurer la liberté et la protection de la presse comme l’exigent les articles 24 et 212 de la Constitution. D’après JED, ces attaques ne sont pas des cas isolés mais “font partie d’un système de répression planifié dans le but de faire taire ou faire disparaître tous ceux qui dérangent parce qu’ils ne pensent pas la même chose que les caciques du régime”.

Selon le rapport, le pays a été marqué par une recrudescence du nombre d’arrestations des professionnels de l’information. Quinze journalistes ont été détenus pendant plus de 48 heures au cours des douze derniers mois, un chiffre qui a été multiplié par deux par rapport à l’année 2017. Tharcisse Zongia, directeur du journal satirique Le Grognon se trouve en prison depuis plus d’un mois. Il avait été arrêté le 6 septembre dernier puis condamné à une peine d’un an de prison pour diffamation, la peine maximale en RDC. Plus récemment encore, cinq journalistes du tri-hebdomadaire AfricaNews ont été détenus durant toute la journée du 19 octobre 2018 à la direction des renseignements de la police nationale congolaise à Kinshasa après avoir publié un article sur l’ouverture d’une enquête concernant le détournement présumé de nourriture dans une école de formation de la police.

RSF partage l’inquiétude de JED alors que se profile le 23 décembre prochain une élection présidentielle attendue depuis deux ans. Dans ce contexte pré-électoral tendu, des journalistes ont été agressés, et des médias appartenant à l’opposition ont été suspendus. JED et RSF ont également dénoncé le licenciement abusif de Syande EmakaMarie Lelo et Benjamin Okakesema, trois journalistes de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), qui avaient couvert une manifestation hostile au pouvoir. Le réalisateur Gaël Mpoyo et le monteur Franck Zongwe Lukawa sont quant à eux contraints de se cacher depuis quatre mois après la diffusion de leur documentaire sur des milliers d’habitants chassés d’un terrain revendiqué par le président Joseph Kabila dans l’est de la RDC. La répression n’épargne pas le réseau internet coupé à de nombreuses reprises à la veille et pendant chaque manifestation d’ampleur organisée par la société civile ou des membres de l’opposition.

A l’instar de JED, RSF constate l’inaction des autorités congolaises pour protéger la liberté de la presse. Sur l’année écoulée, aucune mesure n’a été prise pour  lutter contre les exactions à l’encontre des journalistes et des médias, malgré les demandes conjointes et répétées des deux organisations. Aujourd’hui, RDC s’appuie encore sur un texte relatif à la liberté de la presse datant de 1996 et adopté sous la dictature du maréchal Mobutu qui renvoie au Code pénal et prévoit des peines de prison et de lourdes amendes en cas de diffamation ou d’injure.

L’UFC a enfin quitté la CENI

Le souhait des 14 partis politiques de l’opposition en ce qui concerne le respect de la feuille de route de la CEDEAO se réalise peu à peu. La preuve, ce jeudi, Francis Pedro Amuzun de l’ANC entre désormais dans  l’institution chargée d’organiser les élections, CENI, en remplaçant le représentant de l’Union des forces de changement (UFC), Jean-Claude Atsou Homawo.

C’est du moins ce qui est décidé à l’Assemblée nationale togolaise cet après-midi en séance plénière. Ainsi prend fin la guéguerre des sièges à la CENI.

A cet effet, l’on se dirige à une recomposition égalitaire de la CENI avec 8 membres pour le parti au pouvoir et 8 membres pour la coalition des 14 partis de l’opposition.

La 3ème réunion du comité de suivi chargé de la mise en œuvre de la feuille du week-end dernier à Conakry a rendu les choses flexibles. Même si ce départ de l’UFC de la CENI ne respecte aucune loi du code électoral, il répond notamment au respect de la mise la feuille de route.

Il faut rappeler pour le maintien d’un climat de paix, le NET  de Gerry Taama et OBUTS de Messan Agbéyomé Kodjo avaient accepté quitter la CENI.

 

Togo : Vers une assemblée nationale paritaire après le 20 décembre 2018 ?

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La commission électorale nationale indépendante du Togo (CENI) a publié ce jour l’appel à candidatures pour les législatives du mois prochain.

À quelle sauce sera donc mangée la parité déjà « imparfaite » homme-femme prévue par le code électoral pour la constitution des listes de candidats ?

Depuis la première assemblée nationale issue, après l’indépendance du pays, des élections générales de 1961, le pourcentage des élues au parlement togolais n’a guère excédé le modeste chiffre de 18% relevé dans la législature sortante.

Dans une tentative de remettre les choses à l’équilibre en instituant la parité aux postes électifs, sur un plaidoyer insistant du chef de l’Etat en 2012, le législateur a adopté en 2013 une modification du code électoral avec une formule pour le moins laxiste : Ainsi les listes « doivent respecter, dans l’ensemble, la parité homme-femme…

Autant dire que ce n’est pas pour demain ?

La révision intervenue en février ne fut toutefois pas mise en oeuvre pour le scrutin de juillet 2013, en raison d’une mesure transitoire reportant l’entrée en vigueur de la parité des listes à une échéance ultérieure.

Les partis politiques ont là en 2018 une carte à jouer et elle est d’importance car, en même temps que la promotion de leurs militantes les plus méritantes, ils se trouvent dans l’obligation de se conformer à des prescriptions légales somme toute révolutionnaires pour qui connaît le contexte politico social togolais.

Au regard des récentes avancées dans la participation des citoyennes de tous les pays à la chose publique, et particulièrement des résultats notables engrangés par la gente féminine au cours des élections de mi-mandat de cette semaine aux USA, il apparaît sans conteste que le gros de la tâche reste dévolu aux femmes togolaises elles-mêmes.

Elles doivent, à la faveur de la prise de conscience ambiante, se prendre résolument en charge en oeuvrant de l’intérieur des appareils politiques dans un premier temps pour que soient respectées les prescriptions légales et, à terme, pour combler de fait les faiblesses de la loi en parvenant véritablement à allier une parité verticale à celle horizontale prévue par la loi.

En attendant, le scrutin du 20 décembre 2018 sera le premier test de la maturité du pays sur la question de l’équitable représentativité des hommes et des femmes sur le terrain politique.

 

Yawa KOUIGAN

Juriste-Membre de la CENI

Garantir l’égalité aux femmes comme levier pour l’atteinte des ODD    

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Apres le lancement officiel des activités  du sommet place aux différents panels pour aborder et toucher du doigt les zones d’ombres qui constituent un frein au développement durable en Afrique.

La promotion du genre un thème évocateur et dresse beaucoup d’ambiguïté  sur sa réalisation. Aujourd’hui ce problème freine le développement de nos sociétés africaines.

Aux rangs de ces problèmes  se trouve celui de la non-considération des femmes dans la société, elles sont reléguées à la seconde place dans la société traditionnelle et religieuse et ne jouissent pas des mêmes droits que les hommes.

Aussi les jeunes filles s’exposent à des moqueries, à des diffamations de la part de leur camarades quand elles font face à certaines situations comme les menstruations, ce qui empêchent ces filles à prendre des décisions pour leur vie, certaines cela les empêchent à continuer les études.

Malgré des actions et des efforts qui sont engagés pour sortir les femmes de cette situation, surtout pour faire disparaitre la discrimination sous toutes ses formes sur les femmes et afin qu’elles participent activement  dans les actions des communautés. Des mesures restent toujours à adopter pour relever les défis.

 

Droit fondamental et nécessité

L’égalité des sexes malgré qu’il n’est pas seulement un droit fondamental de la personne, mais aussi un fondement nécessaire pour l’instauration d’un monde pacifique, prospère et durable, les hommes constituent un véritable handicape à l’autonomisation de celles-ci et de sa pleine participation aux différentes prises de décisions.

Pour ce faire, les dirigeants, les associations, la société civile et les parent doivent à travers des sensibilisations, des formations amenées les jeunes garçons comme les jeunes à saisir les comportements discriminatoires envers les uns et les autres. Initier des programmes qui accompagnent les leaders traditionnels et religieux sur les différentes facettes de discriminations nées dans ces secteurs, amener les parents à comprendre que le garçon comme la fille a le même droit et le même devoir et les sensibiliser à faire réussir leur enfants que de les donner aux mariages forcés. Aussi les enseignants doivent jouer un rôle d’arbitre et proposer des modèles d’enseignement qui vont mettre un lien entre celui de l’école à celui de la société.

Des progrès sont en cours concernant les pratiques préjudiciables telles que le mariage des enfants et les mutilations génitales féminines (MGF), qui ont diminué de 30% au cours de la dernière décennie, mais il reste encore beaucoup à faire pour les éliminer.

Garantir l’égalité d’accès des femmes et des filles à l’éducation, aux soins de santé, à un travail décent et à la représentation dans les processus de prise de décisions politiques et économiques nourrira l’instauration d’économies durables et sera bénéfique aux sociétés et à l’ensemble de l’humanité. La mise en œuvre de nouveaux cadres juridiques concernant l’égalité des femmes sur le lieu de travail et l’éradication des pratiques néfastes ciblant les femmes est essentielle pour mettre un terme à la discrimination fondée sur le sexe qui prévaut dans de nombreux pays du monde.

 

Les ODD une opportunité pour la protection des Droits Humains

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Une centaine de jeunes participants du second sommet des jeunes africains sur les ODD se sont réunis autour d’un panel  avec pour thème « Jeunes, Pouvoir, Action, Expériences dans la défense des ODD comme les droits Humains pour tous » pour partager leurs vécus dans la mise en œuvre des ODD au service des Droits Humains.

Parrainé par Amnesty International, ce panel a été animé par Diakhoumba Gassama, Coordinatrice Régional Jeunesse et Activisme à Amnesty International.

Les panelistes ont chacun rappellé leur expérience nationale et les actions qu’ils mènent dans leur différents pays afin de ne laisser personne pour compte avant de lancer un appel aux jeunes à se battre pour prendre leur place afin que la mise en œuvre des ODD ne se fasse pas sans eux.

Hamed Kayode Alabi, responsable de Youth Champion Nigeria a rappelé qu’avec de l’engagement et surtout beaucoup d’innovations, les jeunes ont pris le devant des ODD au Nigéria et sont ceux qui poussent les decideurs à l’action.

Marc ABOFLAN, journaliste du Togo a indiqué pour sa part qu’au Togo, il y a un élan national général en faveur des ODD. « Les gouvernants ont pris leur responsabilités pour faire des ODD, la ligne directrice du Plan National de développement en plus de présenter chaque année un rapport volontaire au Forum Politique de Haut Niveau, le secteur privé s’engage de plus en plus et ce sont des entreprises qui ont le plus fait la publicité des ODD au Togo et la société civile s’est regroupée également pour ne laisser pour compte personne. Les ODD sont devenus une sorte de mode dans laquelle toutes les dynamiques d’où qu’elles soient aujourd’hui s’inscrivent. Même s’il y a beaucoup de choses qui restent à faire pour faire de ces slogans ODD une réalité, une chose est certaine, tout le monde a connaissance des ODD et essaye de faire sa part» a-t-il relaté.

La sud-africaine est revenue sur l’importance d’utiliser les espaces d’expressions de la jeunesse tel les réseaux sociaux pour partager les expériences, les histoires d’impacts et non les selfies et autres. A chaque fois que les jeunes sont confrontés à des problèmes ou qu’ils sont témoins de violations de droits de l’homme, ils doivent le faire savoir au monde entier.

Les ODD ne doivent laisser personne pour compte a conclu la Mme Makhouba en insistant sur le fait que les droits de femmes, des personnes en situation de handicap, des jeunes, des enfants et des LGBTI doivent être protégés dans le cadre de la mise en œuvre des ODD.

 

Agir est impératif pour l’atteinte des ODD

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Le second sommet des jeunes africains sur les ODD se tient depuis ce 07 novembre à Accra(Ghana). Placé sous le thème  « partenariat avec les jeunes pour l’atteinte des ODD : des politique aux actions », l’évènement se veut être une plateforme de jeunes par les jeunes  afin de les inciter à agir pour une implémentation efficace des ODD dans leurs pays respectifs.

L’action c’est aussi amener les dirigeants à agir rapidement pour que la jeunesse  qui représente une grande proportion de la population aujourd’hui et qui est en forte croissance, soit écoutée et assistée. Surtout qu’on puisse confier aux jeunes des responsabilités pour mener des actions qui  permettront dans les différents domaines d’atteindre de manière efficiente les ODD.

Il s’agit de créer une synergie entre les pays africains pour que ceux-ci joignent leurs énergies pour passer à l’action. Les ODD constituent un pilier pour le développement du continent e atteindre les ODD est le meilleur lègue qu’on puisse faire aux générations futures, a indiqué le conseiller spécial du président ghanéen chargé des ODD, Dr Owsu. « Les gouvernements africains doivent encourager les actions des jeunes et leur fournir tous les moyens nécessaires pour implementer les ODD.

Nonobstant les nombreux problèmes qui minent l’Afrique notamment l’emploi des jeunes, la sous-alimentation, l’eau, et surtout les guerres, les dirigeants doivent dans des politiques courageuses qui permettront au continent de se développer.

Deux documents seront élaborés à l’endroit des chefs d’Etat pour les appeler à plus d’action aux coté des jeunes pour les 17 objectifs du développement durable à l’issue du sommet d’Accra. Puisque l’Afrique a accusé de retard par rapport aux autres continents, les jeunes doivent donc être à l’avant-garde pour l’agenda 2030 et veiller que les politiques deviennent des actions concrètes.

Pour la coordinatrice  résidente des Nations Unies et représentante résidente du Programme des Nations Unies pour le Developpement, Christine Evans-Klock, le développement des femmes et des jeunes doit être un impératif pour que la pauvreté dimunie dans nos communautés. Elle a exhorté les pays africains à élaborer des stratégies qui permettront de ne laisser personne derrière en encourageant et la facilitation de l’éducation de tous et c’est par là que « vous avez maintenant la chance de faire ce que vous pouvez faire ».

Elle a exhorté les jeunes à plus d’engagement et de bravoure, à l’éducation pour sortir et bannir le sous-développement dans nos différentes communautés.  Pour elle, les Nation unies sont fortement derrières à tous les initiatives des jeunes pour l’éteinte des ODD d’ici 2030.

Accra : la capitale africaine des ODD

La capitale de la République Ghanéenne accueille du 07 au 09 novembre la seconde édition du sommet des Jeunes Africains sur les Objectifs de Développement Durable(ODD). Plus de mille jeunes venus de tous les coins du continent mais aussi d’ailleurs assistent à cette grande messe continentale.

« Nous sommes heureux de vous accueillir au Ghana et nous souhaitons que cette rencontre soit porteur d’un nouvel élan des jeunes dans leur implication au différents programmes de développement sur le continent », a indiqué Dr OWSU. Conseiller spécial du président Ghanéen chargé des ODD dans son mot de bienvenue.

« La mise en œuvre des ODD ne peut se faire sans la jeunesse qui entend prendre une part active à l’implémentation des ODD dans leur différents pays. » a expliqué une participante du Bénin.

L’objectif de cette rencontre, dont le thème est Partenariat avec les Jeunes pour l’atteinte des ODD : Des Politiques à l’Action, est de maximiser la participation, l’engagement et l’innovation des jeunes aux services du Développement Durable, a souligné Francis AMETEPEY, Responsable de Youth Advocacy Ghana, initiateur du sommet.

Plusieurs personnalités ont participé à la cérémonie inaugurale du sommet notamment  le directeur régional Afrique de l’Ouest et du Centre de Fonds des Nations Unies pour la Population(UNFPA) Mabingue Ngom, la coordinatrice résidente du système des Nations Unies au Ghana, Ms Christine Evans-Clock.

Le Ghana veut être l’exemple en matière de développement durable et les politiques de développement mis en œuvre dans le pays par le ministère du plan, sont focalisés sur le rôle clés du secteur privés, la recherche et la collecte du financement innovant, l’importance des données statistiques de qualité, l’implication des jeunes et des femme et la capitalisation des efforts des jeunes sur les ODD.

Dans son propos inaugural, le ministre ghanéen du plan, Prof Georges Gyan-Baffour a indiqué la nécessité de maximiser l’engagement et l’implication des jeunes afin de faire de l’atteinte des ODD une réalité.

Pendant trois jours, les participants au second sommet africain sur les ODD vont échanger sur les enjeux jeunesse à travers ce sommet. Il s’agira essentiellement d’atelier, de panels, de Workshop de hackatons, de tables rondes, de présentations et d’échanges d’expérience.

Deux documents sont attendus à la fin de ce forum, il s’agit d’une déclaration politique générale des Jeunes à l’endroit des Décideurs politiques, surtout les chefs d’Etat d’Afrique et d’un document de suivi qui sera une grille d’évaluation par les jeunes de l’implémentation des ODD dans leurs différents pays.

J2PE pour la promotion des valeurs de la paix et de la sécurité

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Le   réseau des journalistes panafricains pour la paix et la non-violence électorale (J2PE) est officiellement porté sur les fonts baptismaux ce mardi 6 novembre 2018 à Lomé.

L’objectif selon les premiers responsables est de créer une synergie d’actions positives pour la promotion de la non-violence du vivre ensemble et partant de la paix sociale.

« Dans la circonstance de la recrudescence de la violence et de fragilité de la paix, les médias  ont un rôle considérable à jouer dans la résolution des crises politique sans cesse renouvelées que connaissent nos pays », a déclaré El Hadj Moshood Boukari, président du réseau panafricain des journalistes.

Pour lui, c’est très indispensable que la presse prenne sa responsabilité afin de faire la part des choses pour maintenir un climat de paix dans les pays où la paix est menacée.

« Actuellement, dans un contexte de communication où l’information va à toute allure  comparable à celle de la lumière et n’est plus l’apanage de nous journalistes, mais de tout le monde y compris le paysan au fin fond du dernier village, notre métier de leader d’opinion devient de plus en plus difficile dans ce monde exacerbé par les conflits, le terrorisme, la pauvreté et la méfiance », a-t-il indiqué.

Lancé au Togo, à en croire les premiers responsables, ce réseau travaillera pour le maintien de la paix en Afrique générale.

De fait, il va favoriser la promotion des textes africains et internationaux sur les vertus de la paix et la sécurité.

Il faut rappeler que ce réseau est né pour également répondre aux besoins du Togo dans l’organisation des échéances électorales prochaines.

 

Rapport Doing Business 2019 : le cap des réformes doit se maintenir

Sandra Johnson, Coordinatrice nationale de la Cellule du Climat des Affaires (CCA) a animé ce lundi 05 novembre à Lomé, une conférence de presse pour présenter les différents indicateurs qui ont permis au Togo de gagner 19 places au classement Doing Business de cette année.

Selon le rapport, le Togo a eu cette performance grâce aux indicateurs suivants : la création d’entreprise (47 places gagnées), de l’obtention d’un permis de construire (40 places gagnées), du raccordement à l’électricité (37 places gagnées), du transfert de propriété (55 places gagnées), du paiement des taxes et impôts (01 place gagnée) et de l’exécution des contrats (06 places gagnées).

Le Togo, est ainsi selon le rapport le Sixième Top performer au monde. Deuxième Top Performer en Afrique. 2ème économie la plus attractive de l’espace UEMOA. 1er réformateur dans l’UEMOA, le Togo est l’un des 10 pays les plus réformateurs de l’année 2019.

Pour Sandra Johnson, ces résultats sont le fruit d’un travail collectif et traduisent les efforts du gouvernement qui est résolument engagé dans un processus profond de transformation de l’économie.

« Le mérite revient à tous les acteurs, en premier lieu au chef de l’Etat, pour son leadership à la tête de la Cellule», a-t-elle déclaré. Tout en affirmant la volonté des plus hautes autorités pour le maintien du cap des réformes pour plus de meilleurs résultats.

Selon elle, ce classement démontre l’engagement du gouvernement à faire du Togo, un pays attrayant pour l’investissement.