Le ministère de la Culture et du Tourisme va désormais accompagner les étudiants de l’Université de Kara dans la filière des langues étrangères appliquées.
Une convention a été signée à cet effet ce jeudi entre le ministre Kossi Gbenyo Lamadokou et le président de l’UK, Pr Komla Sanda.
« Cet accord reste pour nous une belle opportunité, tant il permet à nos étudiants en langues appliquées de faire des stages pratiques pendant et après leur formation. Aussi, cet accord amène-t-il nos deux institutions à œuvrer pour le développement du tourisme dans notre pays. Nous allons tout mettre en œuvre pour garantir son succès », a indiqué le Pr Sanda.
En effet, prévu pour une durée de cinq ans, le partenariat permettra de faciliter la formation pratique et l’insertion professionnelle des étudiants. L’UK fournira donc des stagiaires au ministère pour que celui-ci les forme sur le terrain et leur délivre une attestation.
L’accord permettra d’autre part une collaboration dans les recherches, une participation à des événements ainsi que l’organisation de séminaires, ateliers et la réalisation des activités d’intérêt commun.
Ensemble, les deux institutions vont proposer des produits innovants qui répondent aux besoins réels des communautés au niveau de la culture et du tourisme. Elles vont aussi explorer les opportunités de mobilisation des ressources financières.
Les mandataires de la collectivité KPASSRA dans un communiqué dénonce des actions inappropriées à leur encontre depuis quelques semaines voire des mois.
Dans le communiqué il précise que « des individus non identifiés ont mis en ligne sur les réseaux sociaux, notamment « youtube », des vidéos sur les travaux entamés par la collectivité KPASSRA relatifs à l’exécution des décisions de justice ».
Selon les mandataires de cette collectivité, ces travaux sont qualifiés de drame humanitaire et ce, dans le but de biaiser la réalité des faits et de retourner l’opinion publique contre la collectivité KPASSRA.
En effet, selon la précision du communiqué, l’exécution des décisions de justice ne saurait nullement constituer un drame pour les consorts GBAMA et leurs acquéreurs et il importe de rappeler quelques faits majeurs sur l’état des lieux à Djagblé Poukedji que certains appellent « Gbamakopé ».
Ils rappellent que la collectivité KPASSRA a été en litige contre les consorts GBAMA depuis les années 1997 et que devant les juridictions de la République togolaise, elle a obtenu gain de cause au tribunal de Tsévié, à la cour d’appel de Lomé et à la cour suprême du Togo.
« Pour ce faire, ceux qui ont mis en ligne les vidéos en question, ont sciemment omis d’informer l’opinion publique que les membres de la collectivité KPASSRA ont été victimes de tentative d’assassinat dans un incendie meurtrier au cours duquel ils ont vu toutes leurs cultures vivrières, leurs constructions et autres biens totalement détruits » ont rappelé les mandataires.
Le communiqué rapporte que pendant que les parties étaient en procès, les consorts GBAMA continuaient de vendre les terrains pour mettre tout le monde devant le fait accompli en encourageant les acquéreurs à ériger des immeubles.
Ainsi selon le communiqué « l’exécution qui se poursuit aujourd’hui sur les lieux se fait en toute légalité et les forces de l’ordre qui sécurisent ladite exécution ont été régulièrement requises conformément à la loi. Toute autre considération diffusée sur l’assistance des forces de l’ordre est inopportune, superflue et sans fondement ».
Les Togolais disposant d’un portefeuille mobile money peuvent effectuer des opérations de retrait d’argent sans carte bancaire à tous les guichets automatiques et Points Xpress d’Ecobank grâce à l’application Xpress cash by Semoa, développée par la fintech togolaise Semoa, rapporte togofirst.
Xpress Cash by SEMOA, une solution innovante de mobile Banking via WhatsApp qui permet le retrait, sans carte bancaire, d’un compte Tmoney ou FLooz, à tous les distributeurs d’Ecobank et dans les Points Xpress. Il est intégré à Dédé, l’assistante virtuelle de Semoa, génératrice du code de retrait, disponible sur WhatsApp 24h/7j au +22899050505.
« Xpress Cash by Semoa est une solution alternative de retrait d’argent qui facilite la gestion des cartes bancaires et comptes électroniques », indique le directeur du groupe Semoa, Edem Adjamagbo.
Ecobank Togo, partenaire du Groupe Semoa, dans l’opérationnalisation de Xpress Cash by Semoa, nourrit l’ambition de participer à l’inclusion financière dans le pays. De ce fait, elle met à disposition ses 77 guichets automatiques et plus de 1600 points express pour assurer les retraits d’argent.
Le groupe Semoa, rappelons-le, est spécialisé dans la création de solutions digitales de paiement en Afrique. Avant le lancement de Xpress Cash by Semoa, à travers son assistante virtuelle Dédé, il offrait aux clients d’Ecobank la possibilité d’effectuer des transferts d’argent de leur compte vers T-money et Flooz.
L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo acquitté le 31 mars par la cour pénale internationale est rentré dans son pays natal ce jeudi 17 juin 2021.
Dans un communiqué rendu public ce jeudi 17 juin 2021 , le parti convention démocratique des peuples africains ( CDPA) de Brigitte Kafui Adjamagbo la coordinatrice de la DMK a salué son retour qui pour eux est une des conditions pour la construction de la réconciliation entre les Ivoiriens et de l’avenir de la Côte d’Ivoire.
» Notre camarade, le président Laurent Koudou Gbagbo est de retour, chez lui en Côte d’Ivoire, ce jeudi 17 juin 2021, après plus de dix ans d’exil et de détentions arbitraires et injustifiables. Oui, Gbagbo est revenu à la maison après des années d’absence forcée et son acquittement définitif le 31 mars par la cour pénale internationale (CPI) à la Haye. La CDPA célèbre son retour » indique le communiqué signé par la secrétaire générale de la CDPA Kafui Adjamagbo Johnson.
Pour la CDPA, ce retour est une défaite retentissante pour les ennemis d’une Afrique réellement indépendante.
» C’est un triomphe de la persévérance et de la justesse des positions politiques du président Gbagbo, de son parti, le Front Patriotique Ivoirien ( FPI), de ses partisans en Côte d’Ivoire, en Afrique, et de tous les combattants anti-impérialistes partout à travers le monde qui ont soutenu de mille manières son juste combat. La CDPA est fière d’en faire partie. Notre continent a besoin d’hommes et de femmes de la dimension du président GBAGBO » a ajouté le communiqué.
La CDPA, poursuit le communiqué, est persuadée qu’au-delà de la Côte d’ivoire cet événement comptera pour le renforcement et le développement des luttes des peuples africains pour l’indépendance, la démocratie politique et sociale.
L’Association Eco-Impact continue de jouer sa partition pour faire de la transition agroécologique au Togo une réalité. Elle multiplie en ce sens des actions visant à placer l’agroécologie au cœur du système de production et alimentaire.
Dans cette dynamique, Eco-Impact avec l’appui, de Pain pour Le Monde, d’AFSA et de SKI, a organisé du 07 au 11 juin au centre Elikem, un site de développement des pratiques agroécologiques de Eco-Impact sise à Kpimé-Séva, dans la préfecture de Kloto, un atelier pratique de formation et de renforcement de capacités des formateurs endogènes et des acteurs du domaine agricole et environnemental sur les pratiques agroécologiques.
Au total 30 personnes dont 10 femmes, responsables et membres de coopératives agricoles, de fermes et exploitations agricoles, étudiants en agronomie, des maraichers, des pépiniéristes et des paysans ont participé à cet atelier.
Atelier Cours Théorique, Compréhension
De fait, cette formation a permis d’outiller les participants et les pratiquants en agroécologie sur divers pratiques, techniques et technologies en gestion durable de la fertilité des sols et dans la défense des cultures.
« Au cours de cette formation, nous avons revisiter les bases et les fondements de l’agroécologie et d’autres concepts en agriculture durable. Nous avons renforcé de façon intensive les capacités des formateurs endogènes et des participants sur les pratiques agroécologiques ; les techniques culturales (la Rotation, l’Assolement, l’Association des cultures, le Paillage, l’Agroforfesterie), la gestion durable et la valorisation des déchets organiques, la gestion durable de l’eau d’arrosage, la Bio-irrigation, la gestion durable de la fertilité des sols et la gestion des nuisibles à travers la production des bio-intrants notamment le Biofertilisants, le Biochar, Bio-protecteurs, Bio-refulteurs et les Bio-stimulants de croissance. On peut citer entre autres la production et l’utilisation de Bokashi, du Compost, des Innoculums, des Probiotiques, des Bouillons minéraux (chaux soufrée et de cendre), Apichi… » a indiqué le Président d’Eco Impact Jean-Charles Sossou à la clôture de l’atelier de formation.
De même, ces derniers ont été outillé au cours des cinq jours qu’à durée l’atelier sur la production et la conservation des semences locales et sur l’accès durable au marché des produits agroécologiques avec le système de certification social SPG (Système Participatif de Garantie).
Activité de paillage
A travers ses modules de formation, Eco Impact entend rendre autonomes les producteurs et les exploitants agricoles en production des intrants organiques et contribuer à la restauration des sols dégradés et la protection des cultures pour une alimentation saine.
Au-delà de la formation et du renforcement de capacités, il s’agit pour les premiers responsables de cette Organisation de mettre en place un cadre d’échanges et de partage d’expériences réussies entre les acteurs pour une intensification dans la diffusion des techniques agroécologiques approuvées.
In fine, la vision d’Eco Impact est de parvenir à ancrer les bonnes pratiques agroécologiques chez tous les togolais agriculteurs et ce faisant garantie la sécuritaire alimentaire, voire une souveraineté alimentaire, et une alimentation saine.
Atelier pratique de production du Bokashi
« Notre vision est de remettre l’agroécologie au cœur du système de production et alimentaire. Pour cela nous en sommes conscients que nous devons ensemble construire une vision commune pour notre agriculture afin qu’elle soit plus écologique et plus naturelle. Ce qui permettra de nourrir les populations avec des aliments sains et haute qualité nutritionnelle tout en préservant le capital ressources naturelles (eau, sols, climat, biodiversité…) et en garantissant une activité viable, vivable et résiliente pour les agriculteurs », confie le Président d’Eco-Impact M. Jean-Charles Sossou.
Dans cette mission qu’elle s’assigne, Eco-Impact s’engage dans les prochains jours à être permanemment présent aux côtés des agriculteurs et des pratiquants de l’agroécologie pour les appuyer à l’amélioration de la qualité des sols agricoles et des rendements agricoles ainsi que pour une alimentation saine pour toutes et pour tous.
Atelier de Biochar
Pour rappel, Eco-Impact est une association à but non lucratif engagée dans la protection de l’environnement, la conservation de la biodiversité et dans la diffusion et la promotion de l’Agroécologie au Togo et dans la sous-région ouest africaine.
Elle travaille sur plusieurs axes stratégiques dont la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles, l’agriculture durable, l’accès des communautés à l’eau, l’hygiène et l’assainissement, le climat et l’Energie durable ainsi que l’écocitoyenneté et l’entrepreneuriat vert.
Nouveau cas de suicide. Un jeune-homme se serait récemment donné la mort dans sa chambre à Kara, au Nord du pays, rapporte Togoweb.
Pour le moment les raisons de son acte ne sont pas encore connues.
Toutefois, il y a de quoi s’alarmer car ces derniers temps de nombreux Togolais décident de mettre fin à leurs jours. En effet, il n’y a pas longtemps de cela, trois cas de suicides ont été recensés en une seule semaine.
Il urge donc d’accentuer les actions pour enrayer le phénomène.
L’université de Kara (UK) a lancé officiellement en fin de semaine sa licence professionnelle en océanographie.
Selon le président de l’UK, Pr Komla Sanda, ce nouveau parcours a pour objectif « de former des techniciens qualifiés dont a besoin le ministère de l’Économie maritime et différents services techniques et administrations ».
Cette nouvelle formation vient à point nommé en ce moment où le pays veut faire de l’économie maritime un des fers de lance du développement.
Elle permettra également de résoudre le problème de l’inadéquation entre la formation et l’emploi qui se pose dans notre pays.
La Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH) se fixe de nouvelles ambitions pour pleinement jouer son rôle de défense des droits de l’homme et de promotion de la démocratie.
Ce jeudi, elle a organisé un atelier pour se pencher sur ces ambitions contenues dans son nouveau plan stratégique 2021-2025.
Ce plan contient comme axes principaux, le développement institutionnel, la promotion d’une culture des droits de l’homme au Togo, et le renforcement du mécanisme national de prévention de la torture et autres peines ou traitements inhumains ou dégradants.
Selon la responsable de la CNDH, Nakpa Polo, ce nouveau document “va plus loin qu’une simple planification”. Il va rendre l’institution plus performante dans le domaine des Droits de l’Homme (DH) au Togo.
« Le système des Nations-Unies au Togo se réjouit de cette avancée que la CNDH est en train de marquer en ce moment où le pays se prépare à son troisième Examen périodique universel », a indiqué à cet effet Mactar Fall, le représentant adjoint du Pnud Togo qui accompagne l’initiative.
Le directeur général du Centre hospitalier universitaire (CHU) campus, Agbobli Yawo Apélété, est désormais à la tête du CHU Sylvanus Olympio.
Le ministre de la santé, professeur Moustafa Mijiyawa, l’a nommé ce mercredi pour remplacer le colonel Adom Wiyao Kpao, admis à la retraite.
Spécialiste de la médecine légale, de la médecine du travail et de la médecine du sport, ce nouveau directeur appartient tout comme son prédécesseur au corps des Forces armées togolaises (FAT).
Il a fait ses études de médecine à l’Université de Lomé, puis a fait sa spécialisation à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) au Sénégal. Il fut dès son retour, durant un an, médecin-chef de la Gendarmerie nationale. En avril dernier, il a été promu lieutenant- colonel.
Très réputé pour sa discrétion et son amour pour le travail, le lieutenant- colonel Agbobli Yawo Apélété devrait prendre fonction dans les prochains jours.
Reportée en 2020 pour cause de difficultés budgétaires, la cour d’appel de Kara a finalement ouvert lundi la première session de ses assises pour l’année 2021-2022.
À l’ouverture de la session, deux malfrats, ont été condamnés à 40 ans d’emprisonnement. Ils sont reconnus coupables d’assassinat et de complicité d’assassinat.
Les faits remontent au 05 juin 2017 à Tchamba. L’accusé et son complice ont tiré à bout portant sur une dame dans l’intention de lui voler son argent.
Selon le procureur général, Tchontchoko KOUTOB-NAOTO une fois l’acte commis, son complice est allé retirer l’argent convoité du portefeuille de la victime abattue.
Il faut noter que la cour d’Appel a bénéficié d’une enveloppe financière de 25 millions FCFA de l’État pour la tenue ces assises .